TERMINÉ [boyxboy] « Rudy c'est comme un orage, ça prévient pas, c'est derrière le brouillard, et le jour où ça pête à la gueule de tout le monde, on est bien emmerdé. » C'était ce qu'on disait. Yunes est dans sa dix-huitième année, lorsqu'il le rencontre : Rudy. Comme une rencontre avec l'incertitude. Lui et ses boucles noires, son regard profond comme la nuit, son allure fauve... Et pour l'amour de Dieu, il aurait aimé que ça se passe autrement. Attendre que l'orage passe est pourtant simple, mais quand on a plus de temps à perdre, on préfère parfois courir dessous. « Quelqu'un qui sait nager ne coulera pas tout seul, il y faut l'y aider. » © - eliopsis / 01.01.2018 - 03.09.2020

Ina a fait un vœu à ses quinze ans à 22:22. Un vœu qui lui promet des troubles en amour, des histoires de cœur, des rires partagés et des rêves devenus réalités. « Traverser l'adolescence. » C'est ce que résume le souhait d'Ina, qui n'attend qu'elle pour se réaliser. Le temps de trois années de lycée. © larmesmauves - 2018

Vivaldi, elle a une peau de porcelaine et une crinière où naissent des étoiles.

J'ai connu Frankie, dans un parc. Il était assis, seul, un livre dans la main. Une saison en enfer, de Rimbaud. Il m'avait dit que, chaque jour, il lisait trois fois le même poème. Le matin, le midi, et le soir. Au même parc, sur le même banc, à la même heure, chaque jour. .areilbuo's no ertê-tuep ruoj nU

Gabrielle, jeune adulte prête à franchir le monde aux côtés de Lana. Mais, que faire quand tous les repères que nous nous étions fixés tombent ? Avons-nous le courage de plonger la tête première dans le vide ?

Cheveux ébènes, yeux bleus. Ézélia était la belle couleur des cieux.

Il était extraverti. Elle était timide. Il était impulsif. Elle était précise. Il aimait dessiner. Elle aimait lire. Il était insolent. Elle était douce. Il était passionné. Elle était poétique. Il était Mathis, elle était Thaïs. Ils étaient tous deux un peu perdus. Et une nuit, ils se rencontrèrent. Et un matin, ils s'embrassèrent. Mais avant ça, il y eût un million de mots échangés. Après ça, il y eût le jour avec ses millions de doutes, ses millions de larmes, ses millions de déceptions. Nos amours sont-ils voués à disparaître au petit matin lorsque la lune s'est envolée ?

ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.

Tout ce dont j'ai besoin, c'est de cinq minutes. Inspirée de la chanson five minutes du groupe Her. Couverture : image libre de droits.

On a toujours réduit la vie aux mots, jamais aux actes; même si les mots sont englobés dans les actes. On accorde trop d'importance aux phrases et jamais aux conséquences. Et pourtant, on ne réagit même pas quand l'un d'entre nous se fait rabaisser, humilier, devant tous. Ce n'est pas tant ça, la lâcheté, la lâcheté c'est de regarder quelqu'un sombrer dans les Enfers sans réagir pour autant. Les gens sont lâches, et ça, Raphaëlle l'a bien compris, il a suffit d'une remarque sur son poids pour que tout dégénère.