Léo va, chaque jour, à la pelouse de la gare. Il s'agit d'un espace vert à moitié caché parmi les arbres, tandis qu'un café fait face au seul côté visible depuis la rue. Léo connaît tous les habitués des lieux et même leurs habitudes. Mais un jour, un jeune homme qu'il n'a jamais vu vient s'asseoir à la pelouse de la gare. Et Léo décide d'en parler à son seul ami : lui-même. [TW mort, meurtre, harcèlement, violence, stress post-traumatique, tentative de viol]

La vie est un puzzle complexe. Pièce par pièce, la pétillante et déterminée Julia, du haut de ses quinze ans, continuait d'assembler le sien d'une main sereine et insouciante. Elle ne s'était absolument pas préparée à perdre l'une d'entre-elles aussi rapidement. Une pièce de puzzle. Un morceau de sa vie. Un être cher. Son père. Pourquoi continuer de construire quelque chose qui laissera inévitablement un amer sentiment d'inachevé ? La réponse, deux ans plus tard, Julia ne l'a toujours pas trouvée. De nouvelles pièces se succédèrent ; plus sombres, plus épaisses mais plus fragiles les unes que les autres. Angoisse. Colère. Tristesse. Culpabilité. Souffrance. Elle se rendit compte que la vie n'était pas celle qu'elle imaginait et elle y perdit goût, au point de la haïr et d'envisager l'irréparable. Se serait-elle doutée que quelqu'un était en mesure de combler ce vide ? Mais plus encore, aurait-elle osé imaginer que cette personne serait Alessandro Callini, son antipathique professeur de Français, de vingt ans son aîné ? Partagez la rencontre et les méandres de deux âmes tourmentées, aux caractères bien trempés, qui seront amenées à affronter l'interdit afin de réapprendre, ensemble, à goûter aux plaisirs d'une vie qu'ils avaient progressivement laissée derrière eux. NDA : Cette fiction me tient à coeur, non parce qu'elle porte sur le thème cliché d'un amour interdit, mais parce qu'elle m'a permis de réconcilier mon "moi" fort et mon "moi" faible. Je suis Julia. Je suis Alex. Parfois déchirée de l'intérieur comme ils se déchirent entre eux, sans logique, sans raison. Bien plus qu'une histoire d'amour, cette fiction raconte la reconquête de l'être, le douloureux chemin qui mène à l'acceptation, et l'espoir incertain mais tenace d'une rencontre prochaine avec le bonheur.

Jeune, ambitieuse et solitaire, Emilia commence son année de terminale comme une autre, jusqu'au jour où elle fait la rencontre d'Adrian Keller, nouveau professeur de philosophie. Emilia va débarquer comme une tempête dans la vie si bien rangée de Keller, qui lui était tout sauf préparé à elle. « - Alors je ne suis pas la seule à avoir senti qu'il y avait quelque chose de particulier entre nous ? - Non Emilia, tu n'es pas la seule. Et ça rend tout tellement plus difficile. » - Cette histoire est une œuvre protégée, déposée à la Société des gens de lettres (SGDL), tout plagiat est strictement interdit. Tous droits réservés. - Pairing : prof/élève Élève âgée de 19 ans et donc adulte Romance contemporaine, New Adult Contenu mature : scènes explicites

Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs. Qui aurait pensé que les deux familles auraient trouvé en cette soirée de nombreux points communs ? Soudain, Gabin et Agathe se croisent bien plus souvent qu'à des mariages. Du repas du dimanche à Noël, les voilà obligés de se fréquenter à chaque fois que leurs parents veulent « se faire une bonne bouffe ». En l'espace d'un an jour pour jour, Agathe et Gabin auront la chance de partager vingt-quatre fêtes, du repas d'anniversaire aux dates les plus oubliées du calendrier. Et en vingt-quatre fêtes, ils s'aimeront, se détesteront, et tenteront d'assembler pièce par pièce ce qui ressemble peut-être à une jolie histoire. Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs et depuis, ne se sont plus jamais quittés.

ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.