À contrecoeur
Quand on apprend que le garçon qui hante nos pensées et qui nous obsède depuis quatre ans nous est innacessible, on ressent une douleur dans la poitrine, comme si un étau nous compressait notre organe vital jusqu'à la suffocation. On ressent de la tristesse, de la mélancolie, et on pleure toutes les larmes de notre co...