D'où je viens, les petites filles sont arrachées à leur famille le jour de leur dix ans. Jugées incapables de décider de leur destin, elles sont affectées, selon leurs aptitudes, à des tâches de la plus ingrate à la plus prestigieuse. Seule une poignée d'entre elles accède à la grande cité de Prospère: les muettes. Dans un monde où l'écriture est bannie et où les ragots se propagent telle une épidémie, les filles muettes sont des trésors rares car se sont les seules capables de garder un secret. Dans quelques heures, je serai officiellement «une confidente» car je suis muette. Du moins c'est ce qu'ils pensent tous.

Roman édité par Hachette Romans disponible en papier dans toutes les librairies et en numérique sur toutes les plateformes de vente (lien en bio). La version wattpad est donc incomplète mais peut vous donner un avant-goût ♥︎ ☆ Pour cette dernière année de lycée, Lydia s'est fait une promesse. De nature timide et réservée, elle souhaite prendre confiance en elle et s'affirmer. À sa plus grande surprise, l'occasion rêvée se présente : elle est sélectionnée, avec quatre autres élèves du lycée, pour participer aux jeux du Master, qui se dérouleront tout au long de l'année. L'élève qui réussira tous les gages et qui se retrouvera en haut du classement se verra récompensé, en plus de gagner en popularité. Lydia espère ainsi se rapprocher de Liam, un nouvel élève dont elle est tombée sous le charme. Alors que le jeu suit son cours, le Master met en scène des gages de plus en plus étranges... Lydia parviendra-t-elle à découvrir ce qui se cache derrière ce jeu malsain ?

Bryce Hansen wants revenge. Some ass-kicking revenge. She wants it so bad that she wants the whole world to see it. Bryce is so full of her ex-boyfriend Asher's sick jokes, so she hatches a plan to get back at him. Her brilliant plan? Make him appear on her favorite noon time reality TV show "You've Been Duped!". Revenge sure is a dish served cold. COVER CREDIT: Thank you to one of my watty buds Belle @kimpossibelle

[BEING PUBLISHED -- sample and more info inside] One girl. One camp for delinquents. One hell of a summer. Falice Winters has always been the goody-two shoes. Her twin Arabelle . . . not so much. So what happens when their dad plans to ship Arabelle off to a camp to clean up her act? Well, naturally, Arabelle would find a way out. Her solution? Falice! It was a simple plan: Falice would pretend to be Arabelle and go to the delinquent camp while Arabelle got to have the time of her life with her boyfriend in London. Falice thought her summer was going to consist of sitting on the couch reading novels all day or hanging out with her friends. Never did it cross her mind that she would be pretending to be her sister in a camp of delinquents. But now she's stuck at a camp all summer where being rude is the new "in." And everything turns for the worse when someone figures out her secret. Will Falice survive the summer? Or will everyone learn that she's faking delinquency?

ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.

Ou pourquoi deux inconnus venaient tous les matins ici, à dix heures.

Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs. Qui aurait pensé que les deux familles auraient trouvé en cette soirée de nombreux points communs ? Soudain, Gabin et Agathe se croisent bien plus souvent qu'à des mariages. Du repas du dimanche à Noël, les voilà obligés de se fréquenter à chaque fois que leurs parents veulent « se faire une bonne bouffe ». En l'espace d'un an jour pour jour, Agathe et Gabin auront la chance de partager vingt-quatre fêtes, du repas d'anniversaire aux dates les plus oubliées du calendrier. Et en vingt-quatre fêtes, ils s'aimeront, se détesteront, et tenteront d'assembler pièce par pièce ce qui ressemble peut-être à une jolie histoire. Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs et depuis, ne se sont plus jamais quittés.

Trois ans. C'est le nombre d'années sans relations amoureuses sérieuses qu'a passé Hugo. Parce qu'il sait que son coeur et son esprit, dévoré par un trouble anxieux généralisé, ne pourraient pas le supporter. Alors, afin de garder intacte sa vie et éviter de sombrer à nouveau, il se contente de liaisons brèves, sans lendemain. Alors qu'il parvient tout juste à combattre dans sa tête ce qu'il appelle le Monstre, et à suivre une routine qui l'aide à survivre du mieux qu'il peut, un grain de sable vient enrayer la mécanique si bien huilée. Les murs qu'il a ainsi pris tant de temps et de soin à ériger sont sur le point de s'effondrer, emportant dans leur sillage l'équilibre précaire sur lequel repose toute sa vie. Dans ce chaos, Hugo devra faire face à un passé qu'il aimerait oublier s'il souhaite guérir de blessures qu'il n'a jamais réussi à fermer. TW : Anxiété, relations toxiques, dépression, dépendance affective

Dans la case « Que voulez-vous faire plus tard ? » elle avait mis : une vague. C'était Molly, et plus qu'une vague elle était un tsunami. Et si le rose était la couleur de la révolte ? L'histoire de Molly, jeune lycéenne, qui agit contre le sexisme dans son lycée. Merci à @MockinGun pour la jolie couverture c:

Mes souvenirs d'enfance sont comme des photographies éparpillées dans les tiroirs d'une commode. Des images figées qui se détériorent et se redessinent au fur et à mesure que je les ressors. Et quand je les fixe, je ne ressens rien. Je ne vois que des images fixes. Des images ternes que j'aime recolorier. Des images que je finis par oublier. TW : Relation abusive ; Racisme ; Violence conjugale ; Génocide