Une princesse, qui s'est échappée de sa prison dorée pour trouver la liberté. Un voleur de rue, ayant trempé dans des crimes atroces, vivant dans les bas-fonds de la Ville. Un serveur dans un bar à charmes, se prostituant pour payer ses dettes dûes au traffic d'opium. Une trapéziste dans un cirque, vendue au directeur et forcée de rester. Ils ne se connaissent pas. Mais ils viennent de la Terre, et sur Ganymède, cette espèce maudite est traquée à cause de l'oppression que les anciens terriens ont fait vivre aux Ganymèdiens. Ils ont tous envie de s'échapper de cette planète qui ne veut pas d'eux. Entre la nuit et le jour, le noir et le blanc, il y a l'heure du crépuscule ; l'heure bleue. Couverture faite par Aka-Csttn6480 ! 🤍 Histoire entièrement sortie de mon imagination, ainsi que les personnages. Merci de ne pas plagier. J'espère que l'histoire vous plaira ! ✨ Cette histoire est classée en mature pour de bonnes raisons. Présence de gore, de sexe, de drogues, de violences et de langage grossier aussi parfois. Je ne mettrais pas d'avertissement dans les chapitres, lisez à vos risques et périls ! Ça reste assez soft à mes yeux, mais je préviens au cas où. Bonne lecture !

Depuis son arrivée à Hollywood, Tyler accumule les scandales. Lorsque sa sextape fait la Une mondiale, l'équipe de tournage l'oblige à entrer dans une fausse relation avec Harper, sa co-star, afin de redorer son image. Alors que leur couple devient public, Harper se met à recevoir des menaces. Quand Tyler le découvre, son comportement change. Malgré la haine qu'il ressent pour elle, le besoin de la protéger l'anime soudainement. Avec cette proximité forcée, la tension qui les lie pourrait bien se transformer en quelque chose de beaucoup plus intense.

Nouvelle année, nouveau départ. Le temps de peut-être commencer un journal, et devenir celle qu'on a toujours voulu être. Auteure d'Expéricence 21 et de Sweet Dreams, je veux vous inviter à vous créer un modèle sur mesure. A devenir une femme forte, ambitieuse, inspirante et charismatique. A vous fixer des objectifs et a les atteindre, à développer un sens de la discipline, une détermination à toute épreuve. Je suis intimement persuadée que la personne la plus intéressante à rencontrer cette année, c'est cette femme que nous aimerions devenir. "Peut-être que la force est pour vous une notion abstraite. Que vous contemplez chez le sexe opposé. Que vous admirez chez vos semblables. Mais pour moi, la force est un concept clé. Le seul qui m'ait permis de survivre, jusqu'à présent. Sans cet objectif que je m'oblige à atteindre physiquement et mentalement, je ne serais rien." ~ Expérience 21 "Mais oui, c'est vrai, j'oubliai. C'est démodé, tout ça. La grandeur, l'espoir, l'altruisme, l'amour. C'est du passé. Plus personne ne veux crever pour ces conneries. Qu'est-ce qu'ils pouvaient être naïfs, nos ancêtres qui sont morts pour la liberté... Quelle bêtise, croire à l'honneur... Et pourtant... Je ne peux me défaire du goût du panache, de l'honneur, de la grandeur. Je ne peux détourner les yeux de l'éclat du travail bien fait, de la passion, de l'altruisme. Il m'est impossible de ne pas ressentir la flamboyante puissance d'un sacrifice réalisé par amour, d'une dévotion profonde, d'une loyauté sans failles. Le monde peut me dire que je me bats pour des chimères, que je gâche mon talent, que je gaspille mes jours, je combattrais encore, avec toute la force que peut me donner l'idéalisme. Je combattrai encore, comme un héros ou comme un fou, sous les acclamations ou sous les rires, sous les regards emplis d'admiration ou de pitié"

Quand une rencontre mêle les couleurs.

Ô toi qui vient à ma rencontre, ne t'es-tu jamais demandé ce qu'est la normalité ? Qui la définie ? Quelqu'un de plus normal que les autres ? Mais à ce moment-là est-il réellement normal pour être pourtant si différemment normal afin de créer cette norme de banalité ? Maintenant que vous avez votre intro de dissertation de philo, je vais peut-être pouvoir me présenter. Moi, c'est Emily, et la seule chose dont j'ai toujours été sûre et à laquelle je veillais, c'était bien d'être normale. Comme toute bonne populaire qui se doit, flirter, embrasser et coucher avec ce que nous définissons être les canons de la beauté masculine (quoique féminine également, ça m'est arrivé une fois, mais on va faire comme si je n'avais rien dit) était une normalité. La préparation et l'entretien de mon image également. Finir totalement abrutie par l'alcool lors de soirées trop arrosées, aussi. Je devais certes être différente, mais ma différence devenait une normalité dès lors que les gens me copiaient. Aujourd'hui, j'ai quitté le lycée, je suis à la fac et pourtant rien n'a changé. Ma pseudo beauté naturelle, mon charme, et mon caractère me valent les regards de tous, envieux ou non. C'est un fait, je suis normale. Mais la normalité ne deviendrait-elle pas, à force, une banalité ? Dans ce cas, jusqu'où pouvons-nous aller pour sortir de cette banalité ? De quoi sommes-nous capables ? Suis-je finalement normale ?