Tout commence par un rendez-vous manqué au collège. Puis plein d'autres, des années plus tard. (L'histoire est classée mature car la deuxième partie évoque des sujets sensibles, mais ne contient aucune scène sexuellement explicite.)

À la base, j'avais pas envie de me retrouver à Paris. Mais bon, j'allais pas cracher sur l'opportunité. Je laissais presque toute ma vie derrière moi, mais je me doutais pas qu'il suffise d'une côte fêlée et d'une cheville cassée pour me trouver une deuxième famille. Tous des abrutis à leur manière, pourtant je pensais pas qu'ils allaient devenir mes abrutis. Et que l'un d'eux allait m'emmerder plus que les autres. 11/05/19 - 21/01/2020 Maëlle x Deen

du bleu sur son corps à m'en donner l'mal de mer. ©fiction courte 11/08/18 ipomée x mohamed alias sneazzy

Il pensait qu'elle était une étrangère, qu'elle ne comprenait pas un seul mot de son monologue. Elle l'a laissé croire ce qu'il voulait en devenant quelqu'un d'autre le temps d'une soirée. Imaginez donc leur surprise, quand, deux semaines plus tard, ils se sont recroisés par hasard. ✓ Version 1 : du 20 janvier 2019 au 02 mai 2019. ✓ Histoire terminée qui n'est pas encore corrigée.

Je crois que si je devais choisir un mot pour me définir ça serait: limpide. J'étais limpide dans tous les sens de son terme. Limpide dans le sens de transparente. J'étais tout ce qu'il y avait de plus banal, je n'avais rien de spécial, je n'avais rien d'assez original pour que l'on s'intéresse à moi. Les garçons ne s'étaient jamais retournés sur moi. Alors depuis toujours j'avais été seule. Et quand on souffre d'être seule, on se forge une carapace. J'étais limpide aussi dans son sens littéraire. Dans le sens où rien ne pouvait troubler ma tranquillité ou ma paix. La carapace que j'avais construite personne n'essayait de la briser. Personne ne venait me troubler. Et d'un côté cela me rassurait parce j'avais peur que l'on essaye de briser le cocon que j'avais construit. J'avais peur de l'inconnue. Je pensais finir seule. Je pensais que personne ne tenterait de briser cette carapace car je n'en valais pas la peine. Mais il l'a fait. Grâce à lui pour la première fois de ma vie je me suis sentie visible. Léa et Hakim

Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs. Qui aurait pensé que les deux familles auraient trouvé en cette soirée de nombreux points communs ? Soudain, Gabin et Agathe se croisent bien plus souvent qu'à des mariages. Du repas du dimanche à Noël, les voilà obligés de se fréquenter à chaque fois que leurs parents veulent « se faire une bonne bouffe ». En l'espace d'un an jour pour jour, Agathe et Gabin auront la chance de partager vingt-quatre fêtes, du repas d'anniversaire aux dates les plus oubliées du calendrier. Et en vingt-quatre fêtes, ils s'aimeront, se détesteront, et tenteront d'assembler pièce par pièce ce qui ressemble peut-être à une jolie histoire. Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs et depuis, ne se sont plus jamais quittés.

" - On s'était dit que l'un pour l'autre, on croirait à l'amour. Alors même si pour l'instant notre relation te paraît impossible, je te demande juste de ne pas abandonner cette promesse. Je t'aime et tu m'aimes, et c'est le principal. Ca pourrait être bien pire Ken. " Je ne pensais pas un jour en arriver là. Je n'aurais jamais cru possible de vivre une histoire semblable à la notre. Mais alors que nous laissions le fracas de notre passion destructrice nous consumer lentement, j'apercevais notre amour s'envoler en même temps que les quelques dernières nuées de fumée grise. L'histoire d'amour bancale de Ken et Charlotte.

La vérité, c'est que derrière tous ces sourires aguicheurs et ce visage angélique, se cache une armure en acier qui protège les plaies que lui a laissé la vie. Et quand il la vit, derrière l'immense vitre, ses mèches brunes s'échappant de son chignon alors qu'elle s'installait sur le tabouret qui lui était attribué, il su que quelque chose chez elle n'était pas normal. Qu'elle avait ce petit truc qui vous fait vous retourner sur elle lorsque vous la croisez. Il aurait voulu lui demander son nom, lui demander ce qu'elle pouvait bien faire ici. Mais elle saisi un téléphone qui n'était pas relié au sien, et alors que son sourire s'agrandissait, les menottes à ses poignets tintèrent contre le métal du parloir, provoquant des frissons chez le kabyle. • Il y a toujours mieux que la prison, pour une première rencontre. • "You're a shooting star I see a vision of ecstasy When you hold me, I'm alive We're like diamonds in the sky" Mekra x Rosalinda Vasquez #85 dans la catégorie fanfiction le 2/01/18 ? #13 dans la catégorie fanfiction le 12/01/18 ? #6 dans la catégorie fanfiction le 6/02/18 ?

Romain Garry a écrit : " Je n'aurais jamais imaginé qu'on puisse être à ce point hanté par une voix, par un cou, par des épaules, par des mains. Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon d'y vivre, que je n'ai jamais su où aller depuis. "

Vous connaissez tous cette garce qui a fait de vos jours au lycée un enfer ? Et bien, c'est moi. " meeting, n.f : réunion ; alumni, pl : anciens élèves. "