Dans les rues de Dakar, il peut arriver que vous rencontriez un homme banal, Habillé en t-shirt et pantalon comme tout le monde. Vous pourriez alors le dépasser sans faire attention à lui. Vous ne vous rendrez sûrement pas compte, et à juste titre d'ailleurs, que cet homme est rempli d'une haine destructrice et d'une envie de vengeance presque vitale. Le visage que vous avez vu n'est rien d'autre qu'un masque qu'il s'est forgé pour avoir l'air normal. Maintenant, supposons que vous réussissiez à lire en lui et deviniez ce que cache son âme tourmentée, à votre avis, trouvera t'il quelqu'un pour le sauver de sa propre rage ou bien seul l'atteinte de son objectif macabre le délivrera du mal qui le ronge?? Découvrons le ensemble.......

Fatima... De son vrai nom, Fatoumata Binta. Mais disons simplement Fatima car c'est ainsi qu'elle préfère qu'on l'appelle. Son prénom, elle le rejette, comme tant d'autres choses en elle.... Timide à l'excès, enfermée dans un silence qui la ronge, Fatima erre dans un monde qui ne semble pas fait pour elle. Une étrangère parmi les siens. Une paria dans sa propre vie. Rejetée par ses camarades. Ignorée par sa sœur jumelle. Incomprise par ses parents. Et surtout, haïe par elle même..... Son prénom n'est qu'un détail parmi tout ce qu'elle ne supporte pas. Son front trop large, ses yeux, son corps, ses cheveux... tout lui paraît laid, parce que lui appartenant. Et pourtant, au fond d'elle, un rêve survit. Celui d'un avenir meilleur, d'un premier baiser, d'un peu de bonheur. Celui de vivre, tout simplement, comme une fille de son âge. Sur le chemin de cette quête fragile, Fatima fera des rencontres. Certaines lumineuses, d'autres destructrices. Elle devra affronter sa dépression, ses pensées noires, ses pulsions suicidaires... Elle devra apprendre à se voir, à s'accepter et à se sauver. Renoncer à ce pagne qu'elle pose devant son miroir pour ne plus voir son reflet. Et, contre toute attente, c'est une aide inattendue qui viendra briser le mur........ Plonge avec moi dans l'univers de Fatima, découvre ses premiers pas dans ce monde qui l'a si longtemps rejeté..

Si l'ambition suprême est la mémoire collective, la hantise est l'oubli. Peu importe la mort, elle viendra. Peu importe la guerre, on ne la refuse pas. Peu importe le sacrifice,chacun l'accepte (la puissante famille Touré en offre la plus noble illustration). Peu importe la souffrance physique, elle est le lot de tous(de Sylvain Tesson) Sokhna Maimouna Fall,mieux que quiconque la comprend car sa hantise ne se limite pas seulement à l'échec de la mission qui lui a été confié :être la digne fille de sa mère et protéger ardemment sa petite sœur de ses démons qui semblent la hanter depuis sa naissance. Liée à Ibrahima Khalil ,cadet de la famille Touré par le plus grand des hasards ,sa hantise est profonde,elle est encrée en elle et la poursuit telle son ombre... Entre l'amour et les secrets morbides qui façonnent les Touré,où se situera sa hantise ? En sera t'elle délivrée ou prisonnière ?

Je tiens à préciser que ce n'est pas moi qui est vécue cette histoire. Présentation Je m'appelle Khadija. Je vais remonter à quand j'avais 13 ans. J'etais en classe de cinquième au lycée "Les Pédagogues", au Sénégal. Je vivais avec mon "père" , ma "mère"<<Vous comprendrez pourquoi les guillemets>>, mes trois frères Abdou, Moussa, Mamadou et mes deux soeurs Fatima et Coumba Abdou : je suis plus grande que lui de deux mois. Moussa : je suis plus grande que lui de 2 ans Mamadou : je suis plus grande que lui d'un an Fatima : Je suis plus grande qu'elle de 12 ans Coumba : je suis plus grande qu'elle de 5 ans Ma "mère" : A l'époque, elle devait avoir 30 ans. Elle m'a toujours maltraitée. A cause d'elle j'ai subit beaucoup de malheurs. Mon "père" : A l'époque, il devait avoir 38 ans. Je suis née au Sénégal et j'avais toujours vécu là bas. J'ai subit beaucoup de choses, surtout durant mon adolescence. Jusqu'à ce que ma vie a changé. Venez découvrir mon histoire...

Assistante dans une entreprise, Saphiatou Sène tomba raide dingue de son patron Ibrahim Kane. Marié et monogame, Ibrahim refusa les avances de son assistante mais ne pouvait effacer ses sentiments. Ils décidèrent de se marier quelques temps après mais dans la plus grande discrétion...

J'étais le prince héritier du trône d'Oman. Accusé à tort, on a fait de moi le traître de la couronne. Je suis resté enfermé sept années dans l'ombre de la plus noire des prisons d'Oman, et le temps aura suffi à développer ma haine envers mon propre pays. Alors c'est dans la vengeance que mon cœur meurtri s'est formé. Et c'est comme ça que vous apprendrez à me connaître. Car je finirai par reprendre mon trône. Mais que faire, quand des immenses yeux ambre de cette femme mon âme s'abreuve? Car mon désir de tuer les miens pour récupérer mon trône est plus ardent. Alors qui brûlera en premier? Noor ? Ou Nafir ? 𝓒𝔢 𝔱𝔯𝔬̂𝔫𝔢 𝔢𝔰𝔱 𝔪𝔦𝔢𝔫.

Le poids d'un secret et une seule journée pour tout faire basculer. Alors qu'elle ne cherchait qu'à fuir son chaos familiale, son destin s'emmêle à celui de Côme. Qui n'est d'autre que le fils du plus dangereux maître de la contrebande américaine. Mais rien ne garanti que sur son chemin, Mariposa réussisse à s'échapper de ses griffes. Mariposa x Côme : Petit coeur papillon. 𝙹'𝚊𝚒𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚋𝚒𝚎𝚗 𝚝𝚎𝚜 𝚢𝚎𝚞𝚡 𝚗𝚘𝚒𝚛𝚜 𝚌𝚊𝚛 𝚜𝚘𝚞𝚟𝚎𝚗𝚝, 𝚒𝚕𝚜 𝚖𝚎 𝚛𝚊𝚙𝚙𝚎𝚕𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚗'𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚖𝚘𝚗 𝚌œ𝚞𝚛 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚗'𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚞𝚖𝚒𝚎̀𝚛𝚎.

Mon père ? Il me bat depuis le plus jeune âge et je peux rien y faire. Ma mère elle, m'a abandonné telle une lâche il y'a 9 ans, j'ignore toujours la raison. ce soir-là, quand mon père m'a mise à la rue, j'ai assisté à une scène où je ne devais pas être, ce qui a engendré des conséquences.

Médina, jeune femme de 20 ans qui a subit durant toute son enfance des coups de ses parents. Pourquoi ? Et Quand cela a-t-il commencer ? Tout a commencé lorsque son grand frère ; Karim décède suite à un accident de voiture. Ses parents en veulent à Médina pour aucune raison, elle n'a rien fait... Au fil du temps, ses parents la haïssent, Médina se sent de plus en plus coupable de la mort de son frère... [Cette chronique est à prendre au second degré malgré le thème fort de la maltraitance d'un enfant qui a une morale sur l'histoire. Mais c'est aussi une forme exagéré de ce style là de chronique, c'est donc une fiction, pour le coup, une vraie fiction car il y a souvent des trucs pas réaliste.] © Copyright, Tous droits réservés Aucune copie/plagiat et pub ne sera tolérée par l'auteur de ce cette chronique. Date de création : 2014 Date de publication : 2014 Fin : 2015 -Chroniikeuse