J'suis qu'un enfant de cité Vivant dans le monde de la misère Je rêve d'accéder au sommet Pour détrôner le ter-ter Abandonné par une ordure, mon père Laissant ma reine s'égarer dans la galère. J'endosse le rôle de «Chef de foyer» Quitte à s'immiscer dans la facilité Pour faire des millions de billets J'suis qu'un jeune nerveux Parfois même un homme crapuleux J'ai le cœur aussi noir que le charbon, Aussi enragé qu'un lion Mais depuis que j'ai posé mon regard sur elle Mon cœur ne cesse de penser « Qu'elle est belle » Toutes mes pensées sont destinées à cette beauté Qui a fait de moi un homme satisfait J'aimerais lui dire maintes fois «Pardon» Puisque je perds souvent la raison Je lui ai trop montrée ce côté agressif Voulant oublier ces piètres souvenirs en fumant quelques spliff Je suis totalement épris de cette fille en or Lui dire de vive voix «Je t'aime fort» Mais j'suis un homme sale, imbibé de blem-pro J'suis prêt à faire couler le sang, j'suis la «Crapule du Ghetto»

« Un amour impossible qui devient possible, c'est tout un monde qui s'écroule.» Après Salah-Saji, voici la suite avec Mariam (tome 2)

Toutes les bonnes choses sont éphémères. Le passé rattrape parfois le présent et laisse certaines traces dans le futur. Neya, orpheline depuis sa naissance a retrouvé la trace de ses parents biologiques, anciens mafieux, dans un petit carnet qu'avait écrit sa mère avant de mourir. Elle va cependant subir les conséquences des nombreuses dettes de ses derniers, qui pour le coup lui ont laissé pour héritage un véritable cauchemar. Comment cette jeune femme va-t-elle reconstruire sa vie après un quotidien totalement chamboulé, à l'autre bout du monde ? Après le tome I de l'histoire « À l'encre de nos mémoires », découvrez l'aventure de la jeune orpheline qui rêve d'une vie stable et heureuse, comme la plus part des jeunes femmes de son âge. Tous droits réservés© Conformément aux droits d'auteur, aucuns plagiats ne sera tolérés. Cette œuvre est la suite du tome I, bien qu'il n'est pas impératif de le lire, je vous invite quand même a y jeter un coup d'œil Août 2016.

Zûhir , Prince des émirats arabe, tombé sous le charme d'une jeune fille de cité.. Comment cela va-t il se terminer ?

J'avais tendance à entendre cette phrase : " tu es ma fierté princesse et tu le saura toujours ! Je serais toujours la pour toi habiba ne l'oublie pas, Nbrik princesse" cette phrase venant de mon meilleur ami, mais cette personne je ne l'ai plus revu et est revenu dans ma vie pour la chambouler pour devenir mon marie à cause d'un mariage forcé m'insultait et me faire souffrir sans pour autant savoir qui j'étais au paravant. Il m'a fait galère en tout cas tous se dont je peux dire c'est qu'il a bien pourrit ma vie. J'avais beau le connaître avant mais la façon dont il est revenu dans ma vie et d'être marié de force a lui je l'ai serte détester. Il avait beaucoup trop changer....

Aux yeux de la société les mecs comme moi on les nomme "racaille", "banlieusard", "voyou". Aux yeux des filles on est des "beaux gosses", "mecs à meufs", "bailleurs" .. Aux yeux des mecs qui viennent pas de chez nous on est tout simplement une menace. On nous qualifie de loups, de lions, de prédateurs, d'animaux. Mais est ce qu'ils regardent dans nos cité hein ? Est ce qu'ils ont vu mon 93 ? Ils ont vu Marseille ? Lyon ? Rouen ? Grenoble ? Toulouse ? Lille ? Roubaix ? Tout Paname ? Non parce que pour eux du Nord au Sud on est des individus dangereux. Ils nous entassent dans des tours sans ascenseurs, demande à nos soeurs de pas porter leurs voiles en publics et à nos freres de respecter leurs lois. Mais .. Leurs lois dans nos cité elles restent à la porte. Chez nous c'est pas comme chez eux. Les gens des cités on est souvent qualifiés de ce qu'on est pas mais moi APPEL MOI SAPHIR !

Tome 2.

«Il est malheureux que les gens ne voient que les différences qui les séparent. Quand il y a de l'amour entre deux êtres, les différences cessent d'exister. S'ils regardaient avec plus d'amour, ils discerneraient surtout ce qu'il y a de commun entre eux, et la moitié des problèmes du monde seraient résolus.» Chronique 100% fictive. Fait le : 5/11/16

Pour tout le monde l'amour rime avec jusqu'à ce que la mort nous sépare, le notre était écrit autrement...jusqu'à ce que mon frère nous sépare. No Copyright ©