Constance est un coeur brisé qui se balade dans la vie, parmi tant d'autres. Elle trimballe son bagage amoché par la perte d'un être cher comme tellement de personnes avant elle. Parfois elle tente de se consoler, de ce dire que ce n'est qu'une putain de fissure qui finira bien par se refermer. Mais, il y a toujours un élément qui vient se coincer dans l'engrenage pour nous faire perdre les pédales. Pour Constance, c'est un coup de fil de la mère de Théo. Une vulgaire succession de phrases, de mots, pour lui annoncer qu'avant de les abandonner il a laissé une trace de son passage sur cette foutue Terre.

Avec elle, on ne savait jamais à quoi s'attendre.

La jeune blonde se releva, levant sa tête au ciel, les yeux plongés dans les étoiles, sous les regards médusés de ses trois amies. Elle rompit le silence qui régnait, les larmes aux yeux. "Tout ça c'est pour toi Anna. Tout ce qu'on fait c'est pour toi. Parce qu'on le sait. On le sait, à quel point tu aurais voulu faire tout ça, toi aussi. Je sais pas ce qui nous a prit. On a juste eu besoin de te faire vivre encore un peu. On a besoin de toi, encore un petit peu. Les gens ont beau dire ce qu'ils veulent, nous on sait que t'es encore là. T'es peut être enterrée six pieds sous terre mais on s'en fout, t'es encore là. Quoi qu'il arrive, tu continueras de vivre dans nos souvenirs et dans toutes ces choses qu'on accompli pour toi, pour nous. " Une larme se décrocha du coin de son œil et déferla sur sa joue rosée par la fraîcheur de la nuit. "Merci pour tout... Bordel de merde tu nous fais un mal de chien. Mais on t'aime. Je te jure qu'on t'aime. Rien ne t'effacera, c'est juré."

ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.

« La première fois qu'il a essayé de me tuer, il avait six ans et j'en avais trois. » Joyce, maintenant âgée de 17 ans, subit depuis son plus jeune âge les perversions étranges de son grand frère, Nathanael. À travers sa pyromanie, celui-ci développe une haine envers sa sœur que personne n'a jamais su déchiffrer. Joyce décide alors, à ses risques et périls, d'aller chasser les plus noirs démons qui les hantent tous les deux. L'histoire d'un amour fraternel, merveilleusement fragile, comblé de rage, de violence, et de dégoût.

« -Stan! » Je cris et il se retourne. « Qu'est c'tu fous?! Cours putain! » Je retourne le chercher en moins d'une seconde. -Quoi? Pourquoi?! Il demande, totalement perdu. -Pourq- » J'hallucine, c'est pas possible. « Mais parce que c'est c'qu'on fait quand la police débarque, génie! » J'attrape son bras. « Maintenant cours bordel! » Je lui ordonne en glissant ma main dans la sienne, tirant fortement dessus. Ou l'histoire de Logan qui apprend à Stan comment vivre, featuring Batman, de la pizza, les tortues ninjas, des langues et pleins d'autres trucs super cool, promis. [BoyxBoy]

Ana était elle-même, et c'est ça qui faisait peur aux autres. ➖ commencé en avril 2016 🔆 terminé (06.2016) > couverture provisoire pour des raisons de droits d'auteurices <

« Aimer conduit parfois à perdre la raison, mais est-ce si grave ? » (Texte inspiré de la chanson et du clip ''ROBBERS'' , du groupe The 1975.) Copyright / @LucieMC

Imaginez un monde où trouver l'amour est tout autrement important que dans le vôtre. Imaginez un monde où votre vieillissement tout entier se cristallise dès la puberté atteinte et ne reprend son cours qu'une fois l'Âme Sœur trouvée. Plongez au centre d'un univers où la quête de l'amour est primordiale, où les manigances, les déceptions et les tragédies se succèdent avec la cadence d'un battement de cœur emballé. » Couverture par @HurricainePanic.