Dans une Angleterre profondément marquée par la guerre civile, la fiction égaie le quotidien morne et difficile des Britanniques. Tous recherchent qui incarnera Amelia Duncan, l'héroïne d'une série de romans ultra-populaire. La famille Harbridge y voit une opportunité de sortir de sa précarité et de pouvoir financer les traitements coûteux que nécessite la maladie de Max, le plus jeune de la fratrie. Liv Harbridge, 18 ans, est une candidate potentielle pour personnifier Amelia Duncan. Pour sauver son petit frère et sa famille, la voilà embarquée dans cette compétition féroce qui s'avère plus compliquée qu'il n'y paraît. À la clé, des Diamants - monnaie virtuelle du pays - et la promesse d'une vie confortable. Mais le prix à payer pourrait être plus élevé que ce qu'elle pensait... (TERMINE - Édité aux Éditions Alter-Real) Tome 2 en préparation. Best Score : #7 dans la catégorie Science-Fiction (Paper Girl) © Tous droits réservés

Je m'appelle Derek Sanders, j'ai dix-sept ans et j'ai tué ma sœur. Je sais, c'est ignoble, inhumain, cruel ; mais avant de me juger, laissez-moi vous raconter mon histoire. Lorsque j'aurai terminé, peut-être vous aurais-je convaincu que la tuer était la seule issue possible.

Quand la fête tourne au cauchemar... En compagnie de ses amis, Inès, une adolescente sans histoire, se rend à sa première soirée « peer to peer ». Mais la fête ne se passe pas vraiment comme prévu. Les mystères s'accumulent. Qui lui adresse des menaces de mort ? Qui est le mystérieux individu qui la traque ? Elle pensait s'amuser, il va lui falloir se battre pour sauver sa peau. Je profite également de cette tribune pour remercier vivement Giselle Marion, qui m'a gracieusement offert quelques idées de son roman « 2 mètres de toi », notamment le concept des soirées «peer to peer », et quelques uns de ses personnages. J'en ai donc profité pour les martyriser à ma guise. Si vous avez découvert Inès et Rodrigue dans les écrits de Giselle, ne vous attendez pas à les retrouver intacts sous ma plume. Vous l'aurez compris, je dédie cette nouvelle à ma chère Giselle Marion.