Les Casaleccia et les Venazzi sont deux importantes familles du village de Merusaglia en Corse.Depuis plus de deux siècles, la vendetta fait partie de leur quotidien et les membres des deux clans se vouent une haine féroce. Depuis leur plus jeune âge, Leandru Venazzi et Elisbetta Casaleccia ont appris à se détester sans même se voir. Ils ont dix-sept et quatorze ans lorsqu'ils se rencontrent pour la première fois. Elle l'insulte, il se montre violent avec elle. Puis, la seconde guerre mondiale éclate et Leandru quitte la Corse en mai 1940 pour rejoindre les troupes françaises à Dunkerque. Il en revient transformé et ne veut plus entendre parler de vendetta. Un soir, Leandru et Elisabetta sont contraints de passer la nuit dans l'ancienne bergerie de Sempieru Casaleccia, le grand-père de la jeune fille, assassiné avant sa naissance par Ettore Venazzi, le grand-père de Leandru. Cette nuit changera tout pour les deux jeunes gens qui commençent à ressentir des sentiments l'un pour l'autre. Mais un Venazzi ne peut pas fréquenter une Casaleccia... Le maquis ne possède pas d'yeux, mais il voit tout. A machja, ochji un ha ma ochji teni. Traduction du titre : Comme un chant de liberté Couverture par @Xanti_ Vérificatrice officielle de la langue corse : @Cookie2b Traqueuse des grosses bêtes du Niolu : @flaart (fallait que je le note qque part !!! MDR)

« Theodore, jeune noble français, s'est épris d'Anne, une des dames accueillies à la cour de Versailles. Malgré le fait qu'il soit un homme d'esprit et de ce fait, assez proche du roi, ce jeune homme est d'une grande timidité, ce qui attire la curiosité d'Anne. Commence alors une relation épistolaire douce et simple, accompagnée de petits regards coquins et complices de la part de nos deux protagonistes. Une véritable invitation à l'Amour. » Cette histoire est en partie épistolaire, mais aussi entrecoupée de quelques chapitres, parfois.

Lundi sept mai 1635, sous les rayons solaires du petit matin Raphaëlle Oiseau apprend l'inévitable et le tant redouté. Son mariage. Sa mère ayant entrepris des recherches pour un bon parti depuis la mort de son propre époux, est finalement parvenue à trouver un accord pour sa fille avec nul autre que le neveu du Roi. Mais cela sans compter sur Raphaëlle qui du haut de ses quinze ans voit la vie et ses mœurs d'un œil très différent. Elle l'ignore encore mais entrer à la cour signifie entrer dans un monde dangereux où l'espionnage est roi et les femmes en sont reines. Amours et trahisons, amitiés et honnêteté ou encore sécurité et liberté tels sont les choix qui la changeront à jamais.

Septembre 2999. La princesse Adeline de Québec part en France rencontrer pour la première fois en chair et en os son fiancé, le prince Philippe de Braguard. Cette union vise à renforcer les liens entre le Québec et la France, deux nations qui ont des liens communs. Philippe, étant l'aîné de la famille, se voit recevoir le titre de dauphin de France. À la mort de son père, le roi Henri X, il deviendra roi de France à son tour. Adeline, première dame de France, devra s'adapter à son nouveau pays et sa nouvelle famille, oublier les jardins de son enfance et rendre fier le peuple français. À peine arrivée à Versailles, la jeune femme découvre l'existence d'un complot visant à l'éliminer du paysage. Il faut vite démêler les embrouilles et découvrir qui se cache derrière l'opération "Les jardins de Versailles", avant que la dauphine ne soit répudiée... ou assassinée ! Les rumeurs commencent à circuler et les mesquineries ne sont pas tendres. Par chance, Adeline peut compter sur l'aide de son mari et de quelques amis de la cour. Entre complots, mystères, jalousies, passion et mesquineries typiques de Versailles, découvrez l'histoire d'une princesse québécoise à la plus grande cour du monde. Et si le monde de demain se servait des coutumes d'hier ? Début : 21 Juillet 2016 Fin : // #99 dans Romans Historiques le 10/09/2016 [En pause.... Désolée pour les inconvénients !] * Par contre, ne vous inquiétez pas, je n'ai jamais et je ne vais jamais arrêter cette histoire. Et, si c'était le cas, je vous aurais prévenus ! ;)