C'est l'histoire de Blanche Rodin et de Cormac Papillon. Celle de Cornelia, Arsène, Conan, Balthazar, Barnabé et Jean. Surtout, c'est le récit d'un été pluvieux, rempli de hasards heureux, de soupe de poisson surprise, du premier amour, de homards morts-vivants, de lectures nocturnes, de restaurants sans clim, de chapeaux envolés, d'amitiés invraisemblables, de l'envie de grandir, celle d'être jeune pour toujours et surtout c'est l'histoire de la valse des coussins.

Elena en a toujours pincé pour sa collègue impitoyable, Jennifer. Elles vont être amenées à partager une chambre pendant quinze jours...

Dans le monde de Skyrim, l'enfant de Dragon était jugé trop classe pour participer à cette quête (et avait aussi des tarifs un peu trop haut pour ce radin d'Haut-Roi), quatre aventuriers sont choisis pour pas cher. Entre un guerrier dont les efforts pour bien faire seront gâchés, un elfe tellement con que quiconque de censée viendrait à douter de l'authenticité de son diplôme de chirurgien, une extrémiste religieuse raciste dont la prise de parole au nom du groupe rajoute milles septims à leurs têtes au niveau national, et un homme chat dont la paternité improvisée l'empêcheront à jamais de devenir un guerrier compétent, découvrez l'Aventure de l'Héritière, une quête déjà mal parti.

« Qu'est-ce qui avait bien pu lui prendre, à ce jeune homme de bonne composition, pour venir mourir sur la somptueuse peau d'ours polaire de la bibliothèque ? » Au pensionnat de Touchet, une étrange apparition vient troubler la quiétude des demoiselles : rien de moins qu'un cadavre, en plein milieu de la bibliothèque. Et nu ! Quelle indécence ! L'une des pensionnaires doit cependant jouer un jeu moins innocent qu'il n'y paraît, car la police est formelle : personne n'a pu pénétrer dans l'internat pour commettre le meurtre. D'où vient donc le cadavre ? Et qui a eu l'impudence de faire disparaître ses vêtements ? NaNoWriMo 2014 Le dessin des pensionnaires est une courtoisie du talentueux @DrPralinus.

Je m'appelle Oscar. A trois ans, je ne parlais toujours pas. Des spécialistes m'ont tracé mon avenir. Ma spécialité c'est l'autisme. Sauf qu'un jour je me suis mis à parler, j'étais en pleine forme. Seulement un peu fainéant. Soulagement de mes parents. Puis eux, ils se sont mis à regretter. Et si le handicap était le moyen de se faire un maximum d'argent ? Une idée machiavélique. Un plan parfait. Je n'avais qu'à 'jouer la comédie' pour suivre leur scénario diabolique. Facile à dire... ___________________________________ Merci !!! ❤ #46 dans la catégorie 20/04/2018 #48 dans la catégorie 18/04/2018 #57 dans la catégorie 07/08/2017 #62 dans la catégorie 03/05/2017 #63 dans la catégorie 22/06/2017 #86 dans la catégorie 23/06/2017 #119 dans la catégorie 18/03/2017 #286 dans la catégorie 16/07/2017 #336 dans la catégorie 09/07/2017 #383 dans la catégorie 17/03/2017 #887 dans la catégorie 15/03/2017

Nathaniel est un jeune homme frivole et irresponsable que ses parents décident d'envoyer dans un pensionnat. Réticent à cette idée, il part quand même s'installer dans son nouvel établissement. Cependant, contrairement à ce qu'il croit, ce n'est pas le fait d'aller en pensionnat qui va le plus l'embêter. "Ça... fait... mal". Nathaniel devra non seulement combattre le souvenir atroce d'une nuit, mais un fantôme en particulier qui ne veut décidément pas le lâcher. Crédit image: Hernan Marin (www.bleaq.com/2015/hernan-marin)

Une personne anonyme, inconnue de tous, à créé un carnet. Elle a choisi six personnes, pour y consigner tous ce qu'elles veulent dedans, des rumeurs idiotes à des secrets inavouables. Elle détient des moyens de pression sur les six. Ils vont tenter de la démasquer. Mais si personne ne pouvait la soupçonner ? // ⚠︎ : Cette histoire peut faire penser à celle de @Flouce du même nom (Le Carnet, que je vous invite d'ailleurs à lire). Elle l'a postée un an avant moi, mais je tiens à vous assurer que je ne l'ai en aucun cas plagié, nous en avons discuté elle et moi. Les prologues peuvent sembler proches, mais la suite sera évidemment très différente, et n'a aucun rapport. Qu'il n'y ait pas de malentendus :)

Melody a huit ans et elle adorerait pouvoir jouer sous la pluie. Juste une fois. Mais la pluie est acide. La pluie fait fondre les choses et les gens. La pluie, c'est un truc de grands. Même sa mère, qui est pourtant la sorcière la plus forte du village, la craint. Alors que se passerait-il, si, un jour, l'averse ne cessait plus ? --- "Melody, huit ans, deux vampires et l'apocalyse" est une nouvelle qui s'inscrit dans les textes de la Fédération des Enchanteurs. Chronologiquement, il s'agit de la toute première histoire. Elle peut être lue indépendamment des autres textes du cycle. --- Cette histoire est sous licence CC-BY-SA-NC 4.0, quoiqu'en dise la licence Wattpad qui n'en finit pas de switcher en tous droits réservés sans qu'on le lui ait demandé... --- Melody a reçu #LeLabel Wattpad Academy Grand-Grimoire

Chère Consoeur, Par la présente, je sollicite l'accord officiel de la Confrérie quant aux démarches que je souhaite mettre en oeuvre concernant Amalia Elfric. Née Hohenhoff le 13 septembre 1875 du calendrier Merlinique, elle présente une capacité innée liée à l'empathie. Je l'ai personnellement repérée le 4 décembre 1881 lors d'une visite à la Capitale fédérale. Le recrutement de 1885 a échoué (notes consignées au N°188100006387). Au vu des évènements à venir sur son lieu de résidence actuel (Aon - Congrégation Atlantique), j'envisage un nouveau recrutement, conformément à l'accord sur l'innovation Confrère de l'été 1894. Avec tout mon respect, Maître Kentigern, Officiel de Rang Trois ----------------- Cette histoire fait partie du cycle Confrérie. Il peut être lu séparément de La Fédération des Enchanteurs, mais se déroule dans le même univers :) ----------------- Cette histoire est sous licence CC-BY-SA-NC 4.0, quoiqu'en dise la licence Wattpad qui n'en finit pas de switcher en tous droits réservés sans qu'on le lui ait demandé...

Je l'ai rencontré par l'intermédiaire d'un jeu de rôle en ligne. Nos personnages se sont immédiatement plus. Vous savez, la première règle du jeu de rôle, c'est de ne pas confondre les joueurs avec leurs personnages. Cette règle, je ne l'ai pas respecté, bien évidemment. Je me plais à croire que notre amour est tout sauf virtuel. Sa présence m'aide à supporter un quotidien médiocre, terne, insipide. C'est probablement un peu pathétique vu de l'extérieur, mais elle est tout ce que j'ai. Aussi, quand j'apprends qu'IRL (dans le monde réel), ma joueuse est gravement malade et que son temps est compté, j'agis sans réfléchir. J'embarque mon pote Jérôme dans un road-trip qui nous mènera loin, très loin au nord, là où ma guerrière vit ses derniers instants...