Vie rythmée selon l'air des années 80', répliques cinglantes lancées au détour d'un couloir et super-héros dans la peau, Marguerite et William en sont à leur deuxième mois de collocation forcée et si tout semblait bien au début, il n'est jamais simple d'avoir quelqu'un dans sa vie. Ayant eu son diplôme de fin d'études, Marguerite se retrouve temporairement sans emploi tandis que William prépare la sortie de son dernier opus « Vanille & Chocolat » promettant de faire fondre bien des lectrices. Mais voilà, Marguerite trouve une place dans la maison d'édition dans laquelle travaille William et celui-ci semble se rapprocher progressivement de Rose juste sous son nez. Rose, qui d'ailleurs, continue d'endosser le rôle de « Fleur ». Et que se passerait-il si Marguerite reprenait ce qui lui revenait de droit ? Que se passerait-il si on rendait à César ce qui appartenait à César ?

- Maman, murmurai-je. - Bonjour ma chérie, sourit-elle en m'ouvrant ses bras. Je m'y ruais aussitôt, enfouissant mon visage dans sa nuque alors que sa douce odeur me rappelait à qu'elle point le foyer qu'elle m'avait toujours offert me manquait. Je me serrais contre elle avec toute l'affection que je pouvais lui porter et elle me le rendit en me serrant plus fort encore, ses bras se logeant autour de mes épaules. Sa main caressa mes cheveux alors que je n'avais plus cette appréhension du contact, au contraire désormais j'avais l'impression de ne pouvoir qu'en chercher encore et encore. J'avais du temps à rattraper. - Je suis si fière de toi, Keylinda, souffla-t-elle sa voix tressautant en faisant aussitôt monter les larmes à mes yeux. - J'aurai voulu pouvoir sauver tout le monde, murmurai-je fébrile. - Tu as déjà fait beaucoup, affirma-t-elle avec tendresse en redressant mon visage pour sécher les larmes qui roulaient sur mes joues. Ne te sens pas responsable. - Je ne peux que l'être, rétorquai-je en chassant doucement ses mains. Mais je continue à avancer. - Tu es devenue une femme, sourit-elle aussitôt. Tellement belle et forte. - Tu me manque, tentai-je de sourire à mon tour malgré la tristesse qui me lacérait la poitrine. - Toi aussi, glissa-t-elle avec tristesse. Mais cessons de nous morfondre. C'est un grand jour aujourd'hui et Dana m'a permis de venir te voir afin de te donner ce qu'il manque à ta tenue. Me faisant froncer les sourcils, ma mère éclata de rire avec une insouciance si douce que je ne pouvais que m'y plonger avec délice. Elle plaça alors sous mes yeux une petite boîte en velours noir qu'elle ouvrit sans me faire attendre, bien trop impatiente de voir ma réaction. J'écarquillai les yeux alors que dans le petit écrin, s'offrait à moi un bijou en or que j'avais déjà vu de nombreuse fois et que je pensas pourtant perdu. Mon médaillon. Un bijou ancien. Son sourire s'élargit.

Ah les voisins... Qu'est-ce qu'on ferait sans eux ? Qui nous dépannerait quatre oeufs un dimanche après-midi ? Qui arroserait nos plantes quand on sera parti en vacances ? Qui irait chercher le courrier dans notre boîte aux lettres pendant notre absence ? Ah les voisins... Qu'est-ce qu'on ferait sans eux ? Bah je me porterais beaucoup mieux ! #50 le 22/06/2017 #46 le 23/06/2017 #34 le 25/06/2017 #27 le 06/06/2017 #18 le 25/06/2017 #11 le 20/06/2017

Alors que Robin a rendez-vous avec l'homme parfait - riche et beau à tomber -, elle se retrouve coincée dans l'ascenseur de son immeuble avec Nick, venu visiter un appartement.

Accomplie. C'est ce qui définirerait bien Eve, 27 ans, toujours aussi téméraire et New Yorkaise depuis trois ans. Après avoir enfin atteint son idéal professionnel, elle croit avoir réussi à avoir tourné la page sur son passé avec le patron d'Indigo, une entreprise de mode française qui pèse maintenant sur la scène internationale. Mais qu'arrive-t-il quand Eve croise à nouveau le chemin du charismatique et terriblement mystérieux Jeremiah Haccews, l'homme qu'elle pensait être l'homme de sa vie ? /!\ Tome 2 de Amour & Ambition Histoire par TatianaNg Tous droits réservés

À un mois de Noël, la pétillante mais quelque peu poissarde Annabelle Stewart est piégée. Pourquoi ? Car au mariage de son cousin, elle s'est inventé un petit ami, Alexander, et que ce dernier est invité au repas de Noël qu'organisent ses parents. Pire encore ! Il paraît que Derek Jones, un client de son père est convié à la petite fête... Opération Alexander lancée, Annabelle enchaîne les rendez-vous et les déceptions. En effet, quand il ne s'agit pas d'homme trop imbu de leur personne ou retournant avec leur ex, on tente de l'entraîner dans de drôles de magouilles. Pourtant, à force de persévérance et d'histoires bizarres, elle trouve enfin celui qui accepte sa demande. Soulagée ? Pas vraiment. Car les choses se compliquent.

Le jour où Amandine reçoit un mail de sa mère lui annonçant que sa grand-mère Rose est mourante et que le dernier souhait de cette dernière est de revoir sa petite fille, la jeune femme est catégorique : il est hors de question qu'elle revienne dans son petit village de la Savoie. Pourtant, après avoir appris le non-renouvellement de son contrat de travail et que son petit ami, Roman, ne pourra pas passer les fêtes de Noël avec elle, Amandine change d'avis et quitte Nantes pour Solivar. Trois jours, c'est le temps qu'elle se donne pour dire ses adieux à Rose. Seulement ce que ne sait pas encore la correctrice, c'est que la Mère Noël et ses petits lutins ont tout prévu pour contrer son plan chronométré à la seconde près.

Maëlys est belle, intelligente et gagne bien sa vie. Oui en effet, celle qui est source du complexe d'infériorité d'Anaïs est parfaite. Du moins c'est ce que la banquière se dit tous les matins lorsqu'elle voit son reflet dans le miroir. Pourtant, voilà qu'en un claquement de doigt, une avalanche de malheurs s'abat sur elle : la jeune femme se dispute avec Nico, son seul ami, ne rentre plus dans son jeans favori, se fait quasiment menacer d'être expulsée de son appartement et bousille des contrats importants pour son travail. La goutte d'eau qui fait déborder le vase ? Bastien De Fonta, le nouveau barman dans sa discothèque préférée. Lui, mignon ? Pas vraiment. Intelligent ? Peu probable. Connard ? Oh oui, à 200% !

Anaïs, vingt ans et étudiante en troisième année de psychologie, a ce qu'elle appelle « le syndrome de l'aimant à ennuis ». En plus de devoir supporter des parents disjonctés, une sœur parfaite source de son complexe d'infériorité, une voisine se prenant pour la reine de sa résidence, un crush au boulot qui ne semble même pas connaître son prénom ainsi qu'une tendance obsessionnelle à analyser psychologiquement tout le monde, elle doit soudainement faire face à Clément, son nouveau voisin de palier. Le problème ? Celui-ci est un garçon charmant, si on aime les choucroutes et les regards de chien battu, mais également son premier et dernier coup d'un soir...

Que feriez-vous si du jour au lendemain votre vie se retrouvait parasitée par votre parfait opposé ? Le laisseriez-vous entrer ? Mes amies me conseillent de me lâcher... Serai-je assez audacieuse, ou inconsciente, pour pactiser avec le Diable en échange de ce que j'ai toujours rêvé d'obtenir ? Même si son intêret soudain pour moi sent le guet-apens à plein nez ? Même s'il incarne le cauchemar de ma psychorigide de mère ? Vous fonceriez, vous, à ma place ? Vraiment ? Prenez garde, car le Diable n'est pas ce que l'on pourrait penser... Il est séduisant, espiègle, ingérable, impudique. Magnétique. C'est un piège dans lequel vous risqueriez de vous noyer. Je suis Eden Sinclair. Et le Diable, moi, je l'ai rencontré en chair et en os. On l'appelle Alec Cartier. #6 en Chicklit le 20/10 #3 en Chicklit le 08/11