La rue te rend fou, elle t'éduque comme un psychopathe. Elle cache le bien en toi, et fait apparaître qu'le mauvais. À croire que toutes les valeurs que la madré t'as inculqué tu les as oublié. Reprend toi avant qu'se soit trop tard, que dans s'foutu tunnel tu t'égare. - Grandir dans une cité ça peut être difficile, pas seulement pour les hommes mais aussi pour les femmes. Sakina grandit sous le regard de son frère, qui ne l'accepte pas forcément... Entre histoire d'amour et problèmes familiaux sa vie n'est plus aussi tranquille qu'autrefois. [RÉECRITURE PRÉVUE]

Djibril, p'tit gars tranquille qui fait ces trafics en screte mais qui va s'voir plonger dans l'noir à cause d'un drâme inattendue.. |Chronique sur Facebook.|

Sana, 16 ans, algérienne. 🇩🇿 << Je déménage habiter chez mon père dans une cité parisienne alors qu'avant j'habiter dans un p'tit tieks bien tranquil. Loin de ma mère, de mes 2 grandes soeurs et sans mes shab comment vais-je faire pour m'intégrer dans une 6T sachant qu'en plus, un joli connard qui s'appel Fares n'arrête pas de me tourmenter ? >>

L'humanité m'a abandonné. C'est ce que je ne cesse de me répéter, chaque jour depuis un an désormais. Je suis seul, mon corps est sale, j'ai constamment froid et faim et la maladie m'a probablement atteinte. Mon esprit déraille, mon corps m'abandonne de plus en plus. Chaque jour dévient de plus en plus insupportable à vivre. Je ne sais pas combien de temps je serai encore capable de tenir ainsi. Je n'ai rien fait. Je n'ai pas voulu de cette vie misérable. Et pourtant me voilà aujourd'hui, seul, affamé, dans la rue. J'ai besoin que l'on me tende une main. Une main que l'on m'a sauvagement arrachée​. Je perds espoir et m'enfonce profondément dans les ténèbres. La mort caresse mon corps de ses doigts squelettiques, me faisant constamment frissonner. Je veux m'en sortir mais comment puis-je faire alors que le monde me considère désormais comme un déchet ? Je m'appelle Park Jimin, j'ai dix-neuf ans et ma vie est devenue un enfer depuis que tout m'a été arraché, me laissant seul et démuni dans la rue. Je ne sais plus quoi faire... Continuer de garder espoir ? Ou me laisser aller dans les bras de la mort, me libérant enfin de toutes mes souffrances ?

Tu tremblais d'une détermination puissante, instable et insatiable. Tu brûlais du besoin de me tuer, parce que j'étais de l'espèce qui a dominé la tienne et l'a conduite à sa perte. Quant à moi, je ne rêvais que d'une chose. Toi.