Connaîssez-vous le jeu du loup-garou ? Si oui, alors il est temps de se l'imaginer en taille réelle, avec de vrais loups qui dévorent les paysans et autres la nuit, des sorcières qui savent la vérité, mais qui doivent se taire au risque de leur vie, de même pour la voyante, et enfin cupidon, cet incompétant qui lie un simple paysan au pire des loups : le loup blanc. Boy's love. [ Couverture par @_Airbow ]

ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.

⚠ ADULTE ONLY ⚠ *Enemies to lovers* Cela aurait du être une croisière classique. Un bateau de luxe. Des personnes âgées partout. Le ciel bleu azur, les plages de sable fin et les soirées mondaines à n'en plus finir. Téo aurait pu s'y ennuyer toutes ses vacances durant, si seulement cette fille n'avait pas tout gâché. Si seulement Evan n'avait pas disjoncté. Si seulement cette tempête n'avait pas éclaté. Et à présent, il se retrouvait coincé sur cette île hostile en compagnie de celui qui le détestait sans doute le plus au monde, Evan. Et sur cette île qui semblait prendre vie pour les anéantir, il ne leur restait plus que deux choix : s'allier, ou mourir.