Recueil de poésie, occasionnellement citations et textes courts, sur des thèmes très variés, et au jour le jour... Un genre de journal poétique, en somme... 😊 J'aime que mes vers soient libres, sans d'autres contraintes que le rythme et la sonorité des mots... Mais ma plume est le plus souvent enchainée aux hexasyllabes... J'écris comme je pense, et à vos yeux je livre Tout ce qui me construit, les mots qui me délivrent, Ma poésie est libre. Je crie ou bien j'écris, j'évoque des images, Libère ma parole et dessine au passage Un poème à la marge. Mais si j'ose parler, montrer ce qui m'effraie, Ma plume s'affranchit, vous livre mes secrets, Mes mots sont mes regrets... ---------------------------- © Clelia Maria CASANOVA, aka "le Coquillage" 💃

On les a tous rencontrés un jour, ou une nuit. Et parfois, ils reviennent...

Le Moyen Age version western spaghetti. Avec donc des mentons mal rasés, des longs regards en zoom ralenti, des duels sur fond d'orgue, de la chaleur, du sang, de la sueur, de la poussière. Et, bien sûr, de Larouille... Eté 1129. Un mystérieux cavalier arpente la Provence, laissant un chapelet de cadavres horriblement mutilés dans ses traces. Quelques paysans l'ont entr'aperçu. Ils parlent d'un immense destrier noir, d'une silhouette lourdement cuirassée, et d'une aura de terreur suffocante ; les rares ayant vu son visage sont désormais trop déments pour pouvoir en témoigner. Il n'est pas seul à parcourir les routes du comté. Un vieil homme sans nom va de place en place, ne s'arrêtant jamais, fuyant toute gloire et toute amitié. Sa jument grisâtre et fatiguée transporte un arsenal suffisant pour équiper une cohorte, et sa cotte de mailles rouillée dissimule peut-être le chevalier le plus dangereux des royaumes latins. Leurs pistes se croisent dans un village reclus, écrasé de soleil. Et le fracas des armes va se mêler aux grincements des cigales... Episode désormais disponible sur l'appli Rocambole. Seuls les premiers chapitres apparaissent ici.

Le Déclin s'est abattu sur le monde. Une malédiction longtemps annoncée. Le crépuscule des hommes. Certaines contrées sont dévastées, d'autres vacillent au seuil de la tourmente. En dépit de la mort imminente, des havres subsistent, fondés par des gens épris d'espoir, gouvernés par des hommes de trempe, où l'on tente de préserver un semblant d'ordre, où l'on tente de survivre. Or nul n'est à l'abri, pas même au sein de ces écrins de civilisation. Le monde a changé. Et dans un tel monde, où il faut choisir entre manger ou être mangé, où le fil d'une épée est bien souvent l'unique frontière entre la vie et la mort, un mercenaire trace sa route. Sa voie est tapissée de sang, jonchée de cadavres. Que cherche-t-il ? La fortune et la gloire ? Une vie tranquille en attendant la fin des temps ? Trouver une fin honorable en rachat de ses fautes ? Ou simplement un foyer ? Peut-être, en fin de compte, n'est-il destiné qu'à être le témoin impuissant de l'agonie des peuples. Peut-être est-ce là son châtiment. Peut-être est-ce là son privilège.

En cette toute fin de XIXe siècle, Paris est le théâtre de faits insolites : une concierge affolée prétend avoir vu un voleur courir sur des rayons de lune. C'est ainsi que débute pour le comte Alexandre d'Harmont, encyclopédiste de l'Étrange, et le journaliste Henri Berliniac, honorables correspondants du mystérieux bureau des Affaires hermétiques, une aventure qui plonge ses racines dans un passé empli de mystère.

Des critiques de ce que je lis, écrites peu après avoir lu.

Correspondance réelle d'un soldat de 14-18 à sa "Marraine de guerre" dont il espère conquérir le coeur par ses dialogues poétiques et ses déclarations enflammées. A travers ces lettres, on a une description simple de sa vie de soldat et une vision presque neutre et dépassionnée de la guerre.