Ma vie à toujours été mouvementé.jai vécu des choses malheureux et voilà aujourd'hui je vais devenir l'épouse du fils de mon patron de cet enfant pourri gâté. Voici l'histoire de Aïssatou diallo et de Ibrahima Aïdara Gespere que ça va vous plaire

C'est pathétique de voir comment les gens nous rejettent lorsqu'on est un tant soit peu différent d'eux. Certains sont comme horrifiés quand ils me voient, d'autres sont dégoûtés et la plupart des personnes que je rencontre semble avoir pitié de moi. Et ma mère qui désespère de me voir m'investir dans une relation amoureuse. "Tu as tout pour toi", dit-elle. "Quoi pour moi?" Ai-je envie de crier. "Je n'ai même pas assez de mélanine dans la peau..." Mais elle semble oublier que tout le monde me fuit, les hommes y compris, alors comment veut-elle que je sorte avec qui que ce soit? Qui voudrait d'une personne dont on a peur? Qui serait assez fou pour risquer non intégrité, le respect de sa famille... Être albinos au Sénégal, c'est être condamné à la solitude, éternelle. Contrairement à ce que l'on dit l'amour n'est pas pour tous. Moi j'essaie, j'essaie mais je n'y arrive pas. Pourtant je sais que je suis faite pour tout ça...toutes ces choses qui me sont inconnues. Moi Lya, l'ALBINOS.

/!\ HISTOIRE NON TERMINÉE, NE SERA JAMAIS TERMINÉE «Sa mâchoire carrée, son sourire parfait, ses cheveux ébouriffés, ses traits du visage parfaitement bien tirés, son corps de divinité, ses yeux m'envoutait... Dès la première seconde où je le vu, je su qui ne valait mieux pas m'en approcher, et rester caché. Mais il me cherchait, et me retrouvait quand ça lui plaisait. Il était insolant, arrogant, hautain, insultant, prétentieux, incongru, grotesque, vulgaire, orgueilleux et impoli. J'ai essayé de lui échapper, de l'ignorer, et de faire comme si de rien n'était. Mais ce que je ne savais pas encore, c'était qu'à la seconde où il eut posé son regard sur moi, je lui appartenue...» «Je bandais rien qu'à voir la courbe de ses lèvres, son cul rebondis cherché les emmerdes, ses seins ferme et bien rond me défier chaque seconde. Je pensais tellement à elle, que ça m'en fis peur à la longue. Je fantasmais sur ses courbes, bien trop souvent. Mais putain de bordel de merde, son caractère de femme chiante me rendait fou. Je m'obstinais à la suivre et la faire chié. Elle était juste un coup de folie, à remédier.» Ils ont voulu tourner la page, vraiment cette fois-ci. Mais, ils sont sur tout le livre... ©