────── 𝐑𝐄𝐂𝐔𝐄𝐈𝐋 𝐃𝐄 𝐍𝐎𝐄𝐋 25 jours. 25 one-shot. 25 personnages. en attendant Noël, plongé au pays des merveilles au travers de 25 contes ! →˚₊· C ܴೈ 𝗜𝗡𝗙𝗢𝗦 : publication : 25 os (x reader) par jour jusqu'à Noël. fanart par © blustock_

☄ Happy end ☄ ⓈⓐⓣⓞⓈⓤⓖⓤ Gare de Shibuya. Fin d'après midi. Le soleil peine à mourir alors que Gojo se bat sans relâche, pour le monde des exorcistes. Mais une voix l'interpelle. Sa voix. L'explosion de sentiments dans l'immensité de l'esprit de l'exorciste est indescriptible. Dans cette gare, à ce moment précis, le temps ne bougeait plus. Non pas à cause du grand pouvoir de Gojo, mais plutôt car les pupilles sombres de l'homme en face de lui s'était posés sur les siennes. " Et si Geto retrouvait le contrôle de son corps ? " " Et si, d'une façon incroyable, il se retrouvait bel et bien face à Satoru Gojo, dans la gare de Shibuya ? " " Et si... Et si Suguru restait le même maitre des fléaux ? " " Et si... " 𝙈𝙤𝙤𝙙 : - 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙘𝙤𝙪𝙥 𝙙𝙚 𝙛𝙡𝙪𝙛𝙛 - 𝙪𝙣 𝙥𝙚𝙪 𝙙𝙚 𝙖𝙣𝙜𝙨𝙩 _________________________________ C'est ma deuxième fanfic Satosugu, n'hésite pas à commenter, liker, et t'abonner ! J'aime beaucoup le fan art de la couverture, mais ce n'est pas le miens ( on ne voit pas bien mais Suguru pleurs T-T ). C'est sera certainement un happy end, tout sera donc plus ou moins modifier.

ⓈⓐⓣⓞⓈⓤⓖⓤ Mais là est le problème. Le changement est subtil, pas un battement de cœur sourd derrière les oreilles, mais quelque chose de faible. Un souffle dans votre sommeil. Des nuages ​​qui tirent le ciel, et cet instant vacillant où quelque chose autour de vous change, d'abord sous votre regard, baigné de lumière pendant une minute, avant que vous ne releviez les yeux et ne voyiez maintenant plus qu'une ombre grise-blanche, vos vêtements encore chauds du soleil de l'instant précédent. 𝕭𝖞 𝖙𝖍𝖊 𝖙𝖎𝖒𝖊 𝕴 𝖗𝖊𝖆𝖈𝖍 𝖙𝖍𝖊 𝖔𝖈𝖊𝖆𝖓, 𝖜𝖎𝖑𝖑 𝖞𝖔𝖚 𝖇𝖊 𝖙𝖍𝖊𝖗𝖊 𝖜𝖆𝖎𝖙𝖎𝖓𝖌 𝖋𝖔𝖗 𝖒𝖊? (...) ( Ou : Ma dernière fanfic Satosugu. ) 𝙈𝙤𝙤𝙙 : - 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙘𝙤𝙪𝙥 𝙙𝙚 𝙛𝙡𝙪𝙛𝙛 - 𝙪𝙣 𝙥𝙚𝙪 𝙙𝙚 𝙖𝙣𝙜𝙨𝙩 ------------------------------------------------------------- Un chapitre tous les lundis à 21h30 ! Je me suis inspirée de certains passages de la fic' de Cosmichorrourv sur Ao3, sauf que celle ci est en anglais. De nombreuses références sont faites à Tokyo vers 2005-2008, probablement avec des inexactitudes de chronologie là-dedans, mais j'ai essayé de construire cette époque du mieux que je pouvais ! ⌗ 𝚜𝚞𝚐𝚞𝚛𝚞'𝚜 𝚏𝚊𝚗 〰 Pas d'inquiétude cependant, il y a des notes en fins de chapitre pour vous repérez. 〰 De plus, il y a beaucoup, beaucoup de rappels parsemés tout au long de cette fic. Lisez attentivement pour les attraper tous ! :) Remerciements à @Coco_la_pro67 pour les heures de corrections, et parce qu'elle le vaut bien, gros bisous ! ☆ BONNE LECTURE !☆

Hybride et descendante de la Bête du Gévaudan, (T/P) traverse l'Europe depuis des décennies pour absorber la négativité des humains afin d'empêcher les fléaux d'exister. Elle prévoit de se rendre enfin au Japon, qui a le taux le plus haut du monde en création de fléaux. Le plan ? Simple. La réalité ? Moins. Là-bas, on la considère comme une menace. Alors qu'elle tente de survivre dans cette terre hostile, elle croise la route d'un exorciste particulier, dangereux... et totalement allergique à toute forme de romantisme. Le pire ? Le Raihaan les lie à jamais. Un lien d'âmes sœurs, des tatouages marquant leurs instants partagés... et une connexion mentale qu'aucun d'eux ne peut ignorer. Elle est ravie. Lui, beaucoup moins. Malheureusement, la prime sur la tête de (T/P) ne cesse d'augmenter, et elle prend la fuite. Celle-ci la mène jusqu'à un homme intéressé par la somme que lui rapportera sa mort. Mais contre toute attente, il choisit de ne pas l'arrêter, mais de s'allier à elle. Il est aussi mal luné qu'un blaireau sous caféine, grogne plus qu'il ne parle, et pourtant... ça marche. Un peu. Entre deux engueulades. Leur alliance improvisée sent la poudre, les éclats de voix et les murs défoncés... mais elle fonctionne. Et malgré tout, ils se surprennent à s'apprécier. Un peu plus que ce qu'ils le devraient. Plus d'informations dans l'Avant propos !

« Le seul mauvais choix est l'absence de choix » Au détour d'une excursion à Tuula, une discussion fortuite a changé sa vision de l'avenir : Hirose n'a plus l'intention de laisser quiconque gouverner sa vie. S'expatrier d'Ionia pour explorer Runeterra s'est imposé comme une évidence, et croiser la route d'un jeune artiste noxien lui donne le prétexte idéal pour naviguer vers l'inconnu : direction Bilgewater. ATTENTION : Ce récit est la suite de "Ode au Chaos" et "L'art mérite que l'on souffre", il est préférable de les avoir lu avant d'entamer celui-ci. Troisième pièce en 4 actes. --- TW : Attention ! Cette fiction est destinée à un public averti (et tout ce que ça comprend de potentiellement choquant, SANG, GORE, SEXE, VIOLENCE, SUICIDE, VIOL...) ! Fanfiction sur l'univers de League of Legends. Mais peut aussi être lue sans en connaître l'univers ;)

Deux mois. C'est le temps qui s'est écoulé depuis ce terrible soir où le Q.G. militaire de Central s'est effondré, emportant Roy et Alphonse, qui y avaient foncé tête baissée au secours d'Edward, kidnappé par les homonculi. Depuis lors, Riza n'a plus revu aucun d'entre eux. On les dit « portés disparus » ; « supposés morts », même. Mais la soldate, elle, est convaincue du contraire : elle en est sûre, elle l'a aperçu au milieu de ce paysage désolé, Edward est bel et bien vivant... et toujours aux mains de l'ennemi. Pour le sauver et espérer retrouver les deux disparus, Riza va devoir se retrousser les manches et remonter la piste des miettes de pain que l'alchimiste a laissées dans son sillage. Mais la chose n'est pas pour plaire à tout le monde : dans l'ombre, des forces qui la dépassent sont à l'œuvre et n'entendent pas de cette oreille que la jeune femme cherche à leur arracher la pièce maîtresse de leur plan...

Dans la grande et intimidante ville de Bilgewater vit une jeune yordle, orpheline, élevée par un vieux marchand. Alors qu'elle passe une journée ordinaire, elle fait une série de rencontre qui la poussent à partir à l'aventure, dans l'espoir de trouver ses parents, qu'elle croit encore en vie