Il était une fois un pays lointain, un royaume en ruine qu'une guerre interminable n'en finit plus de détruire. Il était une fois un roi au cœur glacé de solitude. Il était une fois un jeune homme traité comme un souillon par sa famille adoptive. Il était une fois un bal. Une rencontre. Une histoire d'amour... Et une menace. -- Couverture par moi, images libres de droits

Gagnant Wattys 2020 ! --------- Il était une fois une ville gigantesque, tout un royaume de misère et de dépravation. À l'intérieur se trouvait un prince vaniteux et égoïste. Un voleur au cœur pur, sans passé et sans mémoire. Un sorcier cupide aimant jouer avec les limites de l'humanité. Et une lampe au pouvoir inimaginable Le premier qui la trouvera pourrait bien décider du destin d'Agrabah... Oyez,oyez... Car le conte que vous croyez connaître renferme bien des secrets... ~~~~ Couverture par moi

L'HISTOIRE N'EST PLUS COMPLETE, LES CHAPITRES DE 13 A 29 ONT ETE SUPPRIMES CAR L'HISTOIRE EST DISPONIBLE SUR AMAZON. Merci de votre compréhension. Résumé: Gabriel Fortin est une sorte de branleur, un type abimé par une vie violente et injuste mais qui essaye de garder la tête haute malgré son passé. Il trouve son plaisir dans sa vie de petit dealer d'Université, passant son temps dans des soirées pour vendre ses produits ou bien simplement être entouré de ses amis aussi bousillés que lui. Il ne s'attache pas aux autres et préfère prendre du bon temps sans trop réfléchir. Or un jour, son intérêt se porte sur un petit aristocrate à l'allure de Roi nommé Emile Meynart. Emile est toujours souriant, toujours aimable avec les autres et est digne de sa famille. Mais Gabriel a vu bien plus loin que son apparence et s'est mis en tête de mettre ce blondinet au regard dévasté dans son lit. Mais les choses ne se passent jamais comme prévu, et Gabriel pourrait bien vite le regretter. Histoire disponible en format ebook et papier sur Amazon ! Par propriété exclusive de l'auteur, la copie et les utilisations partielles ou totales de son travail sont interdites: conforment aux articles L.111.1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle AudreyPh18

[EN CORRECTION] Il avait suffit qu'un serveur soit trop lent, qu'une voiture soit remplie et que de la limonade soit renversée pour que la vie de Tobias Carl bascule. Il avait suffit d'une veste en cuir, d'un sourire charmeur et de belles paroles pour que Tobias Carl tombe amoureux. Il avait suffit que des secrets inavoués soient découverts, qu'une trahison soit révélée et qu'un séjour à l'hôpital devienne urgent pour que Tobias Carl voit son monde s'écrouler. Il avait suffit que Brooklyn Andersen entre dans la vie de Tobias Carl pour chambouler toute l'existence d'un étudiant en droit qui pensait tout connaître de la vie.

"Tu veux baiser ?" Voilà ce qu'il m'a dit après avoir appris que j'étais puceau. Il me l'a dit avec tellement de facilité, comme si ce n'était rien d'autre qu'une formalité, un papier à signer, une lettre à poster. Mais je ne suis pas comme lui. Lui couche à droite et à gauche, pour de l'argent, des services, un toit où dormir. Il n'a pas d'attaches, ni d'attentes. Mais je ne suis pas comme lui. Peut-être devrais-je plus lui ressembler pour qu'il me remarque ? ROMAN SOUS CONTRAT D'ÉDITION CHEZ NISHA ET CAETERA, PROCHAINEMENT DANS VOS LIBRAIRIES

Quand j'ouvre les yeux après un long sommeil, je me dis tout le temps qu'il y a pire que moi. Je me dis que j'ai un logement, un très petit logement. Je me dis que j'ai de la nourriture, peu, mais j'en ai. Je me dis que je gagne des sous tout les soirs, pas une grande somme, mais j'en gagne pour survivre tandis que d'autre n'ont rien. Alors, même si ma vie est pourrie, même si je vend mon corps d'homme, même si j'ai tout les soirs mal, je me dis qu'il y a pire que moi, et ça va un peu mieux. Mais j'ai toujours mal. Quand il ouvrait les yeux, où je travaillais, il me regardait et il n'avait plus mal. Il souffrait, il ne disait rien, mais il n'avait plus mal car il me regardait. Moi, Louis Tomlinson, je me sens observé, quand je travaille dans ce bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce groupe de motard qui gueule sur un match que diffuse la télévision du bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce vieux, qui regarde son verre, attendant que le temps passe. Ou bien si c'est ce jeune, ce jeune garçon avec des longues boucles, des longues jambes et des yeux verts qui m'observent silencieusement.

«Ta route a croisé la mienne et tu ne peux rien n'y changer!» «Mais ma route ne mène nul part, Harry!» «Si Louis, elle t'as ramené à moi..» Certaines routes peuvent se recroiser même après un long trajet. Cover by @Fictiondenola

Voltaire a dit un jour que chaque profession a un vice et un danger qui lui sont attachés. Ce que l'on nous a appris à l'école de police, c'est que le vice des forces de l'ordre était l'alcool ; le danger, se faire tuer. On a tous cru et appris bêtement ces deux certitudes comme si elles allaient dicter notre carrière et notre vie pendant les prochaines années. Seulement ils avaient tord ; tous ceux qui nous l'ont chuchoté, tous ceux qui nous l'ont crié, tous ceux qui l'ont hurlé sur les toits de la caserne, bourrés, pour nous prouver qu'ils avaient raison. Ils avaient tord. Le vice des forces de l'ordre, c'est le mensonge ; le danger, tomber amoureux.

"Me voilà donc aujourd'hui, six ans plus tard, divorcé, père, et encore amoureux de Harry." #WIWYMfic @PhilPlumeFic #63 Fanfiction - Le 13/11/2017 #51 Fanfiction - Le 14/11/2017 #42 Fanfiction - Le 23/11/2017 #32 Fanfiction - Le 08/12/2017 #28 Fanfiction - Le 09/12/2017

« L'amour est mon domaine, j'en ai fait un vrai trafic. Une simple demande et je peux former le couple le plus insolite qui soit. Ou, je peux le briser. Je suis un expert, on m'appelle "Cupidon" et j'effectue mes missions sans la moindre difficulté. Enfin, jusqu'au jour où on m'a demandé de rassembler les êtres les moins compatibles au monde: Harry Styles & Louis Tomlinson. »