/!\ HISTOIRE NON TERMINÉE, NE SERA JAMAIS TERMINÉE «Sa mâchoire carrée, son sourire parfait, ses cheveux ébouriffés, ses traits du visage parfaitement bien tirés, son corps de divinité, ses yeux m'envoutait... Dès la première seconde où je le vu, je su qui ne valait mieux pas m'en approcher, et rester caché. Mais il me cherchait, et me retrouvait quand ça lui plaisait. Il était insolant, arrogant, hautain, insultant, prétentieux, incongru, grotesque, vulgaire, orgueilleux et impoli. J'ai essayé de lui échapper, de l'ignorer, et de faire comme si de rien n'était. Mais ce que je ne savais pas encore, c'était qu'à la seconde où il eut posé son regard sur moi, je lui appartenue...» «Je bandais rien qu'à voir la courbe de ses lèvres, son cul rebondis cherché les emmerdes, ses seins ferme et bien rond me défier chaque seconde. Je pensais tellement à elle, que ça m'en fis peur à la longue. Je fantasmais sur ses courbes, bien trop souvent. Mais putain de bordel de merde, son caractère de femme chiante me rendait fou. Je m'obstinais à la suivre et la faire chié. Elle était juste un coup de folie, à remédier.» Ils ont voulu tourner la page, vraiment cette fois-ci. Mais, ils sont sur tout le livre... ©

"-Samantha? Vous serez dans le studio numéro 2 car le modèle homme n'est pas encore arrivé. J'acquiesçais et me dirigeais jusqu'au studio numéro deux où une maquilleuse m'attendait. Je m'asseya sur la chaise haute et voyant mon visage crispé, elle me demanda de me détendre. Mais je ne pouvais pas me détendre. Cela faisait déjà deux heures que tout le monde attendait ce mec. Qui que ce soit, je me promettais de lui faire passer un sale quart d'heure. -J'ai presque terminé Mademois... -C'est là le stud 2? lança-t-il en fermant la porte de manière désinvolte. À ce moment là, je ne savais pas s'il fallait que je l'enlace ou que je lui envoie la gifle monumentale qu'il méritait. Évitant de faire une scène sur mon lieu de travail, j'étais restée très professionnelle jusqu'à ce que le shooting soit terminé. Une fois en dehors du hangar, je ne pris même pas le temps d'admirer le coucher de soleil californien, je lui arrachais son spliff d'entre ses lèvres et ma main s'écrasa violemment sur sa joue. -J'te déteste Ken. »

«Bonsoir Diana» «Hum, je ne pense pas qu'on se connaît.» «Pourquoi dis-tu ça ? Je te connais moi.» «Comment ça?» Non distribué. note de l'auteur : cette fiction est complètement extraite de mon imagination. merci d'avoir cliqué. ♡