l'effet mer

que le silence doit se sentir seul. (la photo de couverture ne m'appartient pas.)

Grace

Saint Louis. Été 65, On s'est aimés.

Ozone

Ozone. "Je veux vivre ma propre vie tu vois, je suis plus bien à Paris, je sais même pas si j'ai déjà été bien ici, eh c'est bon j'ai l'impression que ça fait 100 ans que je vis à Paris, accompagne moi, j'ai besoin de toi Cass' ". Les lumières de Paris s'éteignirent une dernière fois derrière nous.

}écharde{

il y a les gens dans la rue puis il y a nous (ça ne mènera à rien)

du coton

des mots pour soigner tes maux des mots doux comme du coton

étés jaunes

tympans percés et bouches cousues, on aspire tous aux étés jaunes © mourire | novembre 2018

yeux disent le contraire

il dit aimer la vie, mais ses yeux disent le contraire © mourire | octobre 2017

elle bousille ma vie

« docteur, j'ai mal à l'âme » © mourire | décembre 2017

f(aim) du monde

me noyer en toi une dernière fois © mourire | avril 2018

| te voir souffrir |

liam était amoureux. à en crever. sa poitrine bouffée par les sentiments, il était au bord de l'effondrement.

iphigénie

« mais iphigénie, eux ils brillent, et toi tu t'éteins comme une étoile qui ne parvient plus à s'allumer » © mourire | janvier 2018

Fenêtre sur Mars

En attendant l'été, je partage mes théières et mes étoiles en plastiques sur fond de Nirvana et de ukulélé. ((Pour combler mes insomnies)) Az

nos soirées lithium

et, la musique se jouait, le vinyle tournait et Anna se laissait tomber sur son lit, les yeux fixant le plafond. «à quoi ça sert la vie?»

ouvre ta porte

Parce qu'on le perd, un peu plus chaque jour. Et parce que ça nous détruit de le voir dans cet état. Reviens-nous.