Le premier prénom, c'est celui que vous aviez avant, et que vos parents vous ont donné. Le deuxième prénom, c'est celui qu'on vous a donné, c'est une suite de chiffres, que la Fondation de Novus vous a attribué pour vous nommer. Le troisième prénom, c'est celui que les rebelles ont choisi, ceux qui parcourent le pays...
C'est l'histoire de la rage d'Aubin, de l'abandon d'Églantine, de l'essoufflement de Barnabé. Celle du cœur de Melchior, des cicatrices de Colombe et du dilemme de Lison. Ceci est l'histoire de leur vie. Ils se sont perdus, ce soir. « I stared up at the sun, thought of all the people, places and things I've loved, yo...
Trois chaises. Une passion. Un monde en perpétuel interaction. Une fille, un garçon, Quelques mots lancés sans confession, Sans se préoccuper de la chaise vide. Qui les regardait. Qui les épiait. Qui les tuait. #3 in Paranormal (23.06.2016) #2 in Paranormal (15.12.2016) Récompensé aux Wattys France 2016 dans la...
Elle a changé de ville, comme dans un rêve, laissant derrière elle, son passé, si douteux. Elle rencontre ce jeune homme, David, qui va chambouler sa vie. Le voulait-elle ? Elle ne le sait pas vraiment. Elle commet des erreurs, comme tout le monde. Quand tragédie et romance se mélange, que mystère et vérité se confron...
Au final, que sommes-nous ? Niel le sait. Elle le sait, parce que les mots le lui ont dit. Tout simplement. #210 dans Fiction Générale (28.08.2016) © Je suis un paradoxe. | 2016 #JeSuisResponsableDeCeQueVousLisez
Ce n'est pas qu'une histoire de cônes et de bâtonnets. ⠨⠉⠑ ⠝'⠑⠎⠞ ⠏⠁⠎ ⠟⠥'⠥⠝⠑ ⠓⠊⠎⠞⠕⠊⠗⠑ ⠙⠑ ⠉⠹⠝⠑⠎ ⠑⠞ ⠙⠑ ⠃⠡⠞⠕⠝⠝⠑⠞⠎. Gagnant du concours Open Ur Mind dans la catégorie Poésie (2.09.2017) #43 dans Poésie (18.07.17) © JSUP | juin 2017 collection « Astéroïde »
Timothée n'aime pas les légumes. Il leur trouve trop de couleurs. Timothée n'aime pas les saisons. Il n'en voit pas l'intérêt. Timothée n'aime pas l'école. Il n'y fait que s'ennuyer. Timothée n'aime pas grand chose. Si ce n'est dessiner des planètes. Pour partir à la découverte de ses envies, d...
« Tu vas bien trop loin, chéri, parce qu'il n'y a pas de "gay" dans "Dis-ney" et il n'y en aura jamais. Tu n'es pas une demoiselle. Tu es peut être en détresse mais je ne te sauverais pas. Sauve toi tout seul. »