- Etes-vous muette ? Devant cette question, Tara se mit à trembler. Depuis ce soir d'été où sa vie a basculé, Tara tente de survivre chaque jour sans le moindre espoir en perspective. Mais alors qu'elle séjourne au Khazban avec le personnel de sa clinique spécialisée pour un programme de réinsertion, elle doit faire face à l'une de ses pires craintes. Se retrouver en présence d'un homme. Un homme au regard dangereusement inquiétant. Au bord de la panique, elle décide donc de faire face à cet homme ombrageux qui l'observe depuis son fauteuil. Mais à peine eut-elle relevé les yeux qu'elle le regrette quand cet inconnu lui fait comprendre d'un simple regard, que cette rencontre ne sera pas dernière.

Lorsque son village est envahi par l'armée des vikings, Nessa tente de se sauver parmis le chao que sème ces barbares avant que l'un d'entre eux ne la prenne en chasse. Terrifiée Nessa affronte l'homme aux multiples balafres...un cri étouffé au fond de la gorge. Mais alors qu'elle pense déjà à la mort qui l'attend...Nessa se retrouve désemparée lorsque celui-ci dépose sur elle un regard dont les lueurs menaçantes semblent écrire son nouveau destin. Celle d'être sa prisonnière.

"Vous n'avez pas de cheveux ! " Vous mangez du singe ! " " Vous êtes des sauvages ! Vous faites peur ." Voilà les clichet dans lequel Morgane, une jeune fille de 17 ans a toujours grandi à propos des africains. Plus pour longtemps! Après avoir fait une remarque désobligeante devant sa nouvelle classe, Esther une jeune camerounaise de 18 ans perspicace mais au tempérament vif la met au défi: elle lui propose de venir faire l'expérience de vivre une semaine chez elle. La culture africaine qui se percute à la française pour donner un mélange tout à fait nouveau et originale avec une pointe d'humour. À ceux qui veulent découvrir! Created 5/04/16

En venant à Moscou supplier le cheikh al Karban, Maisie s'attendait à tout sauf se retrouver devant un homme aussi séduisant. Bien que ses motivations à le ramener soient uniquement basées sur le chantage de la mère de ce dernier, Maisie met tout en oeuvre pour le convaincre de revenir dans son pays, afin de le sauver. Alors qu'elle tente en vain de dissimuler le trouble que sa présence fait naître en elle, le cheikh accepte de revenir. Seulement, Maisie est loin de s'imaginer ce qui se cache derrière cette acceptation si rapide...

- Maman, murmurai-je. - Bonjour ma chérie, sourit-elle en m'ouvrant ses bras. Je m'y ruais aussitôt, enfouissant mon visage dans sa nuque alors que sa douce odeur me rappelait à qu'elle point le foyer qu'elle m'avait toujours offert me manquait. Je me serrais contre elle avec toute l'affection que je pouvais lui porter et elle me le rendit en me serrant plus fort encore, ses bras se logeant autour de mes épaules. Sa main caressa mes cheveux alors que je n'avais plus cette appréhension du contact, au contraire désormais j'avais l'impression de ne pouvoir qu'en chercher encore et encore. J'avais du temps à rattraper. - Je suis si fière de toi, Keylinda, souffla-t-elle sa voix tressautant en faisant aussitôt monter les larmes à mes yeux. - J'aurai voulu pouvoir sauver tout le monde, murmurai-je fébrile. - Tu as déjà fait beaucoup, affirma-t-elle avec tendresse en redressant mon visage pour sécher les larmes qui roulaient sur mes joues. Ne te sens pas responsable. - Je ne peux que l'être, rétorquai-je en chassant doucement ses mains. Mais je continue à avancer. - Tu es devenue une femme, sourit-elle aussitôt. Tellement belle et forte. - Tu me manque, tentai-je de sourire à mon tour malgré la tristesse qui me lacérait la poitrine. - Toi aussi, glissa-t-elle avec tristesse. Mais cessons de nous morfondre. C'est un grand jour aujourd'hui et Dana m'a permis de venir te voir afin de te donner ce qu'il manque à ta tenue. Me faisant froncer les sourcils, ma mère éclata de rire avec une insouciance si douce que je ne pouvais que m'y plonger avec délice. Elle plaça alors sous mes yeux une petite boîte en velours noir qu'elle ouvrit sans me faire attendre, bien trop impatiente de voir ma réaction. J'écarquillai les yeux alors que dans le petit écrin, s'offrait à moi un bijou en or que j'avais déjà vu de nombreuse fois et que je pensas pourtant perdu. Mon médaillon. Un bijou ancien. Son sourire s'élargit.