1670, le roi Louis XIV gouverne le royaume de France. Pour exposer sa grandeur, il installe de plus en plus régulièrement sa cour au château de Versailles, qui n'est au départ qu'un modeste pavillon de chasse. Il y fait de nombreux travaux et ce château va vite devenir le lieu des fêtes les plus grandioses et le symbole d'un royaume puissant. Louise de Brissac, fille du duc Artus Louis de Cossé, vient d'atteindre son dix-septième anniversaire. Chose étonnante : elle n'est pas encore mariée. Pourtant, elle est un très bon parti. Fille d'un duc très riche, elle ne semble pas impatiente de trouver un mari. Louise est plutôt d'une nature libre et craintive, la cour n'est pas faite pour elle. Cependant, à la demande directe du roi Louis XIV, elle devra se rendre à Versailles. Dans un monde comme celui-ci, où intrigues et complots se mêlent, Louise devra bien trouver sa place.

Décembre 1681 -Acceptez-vous ce mariage ? -Oui... répondit-elle boulversée Aliénor de Montarly n'a que quinze ans lorsqu'elle doit accepter son mariage avec un homme bien plus vieux pour sauver sa famille de la ruine. Telle une monnaie d'échange, elle est envoyée à Versailles après avoir reçue la plus stricte des éducations durant quelques mois. Certains plans vont cependant mofidier son destin. A Versailles, palais de tous les rêves se déroulent bien des complots dont un qu'Aliénor aurait sans doute dû ignorer. La curiosité et l'envie de justice l'envenimant bien trop, elle est entrainée dans une aventure mélangeant amour, jalousie et orgeuil. Aliénor devra éclaircir le vrai du faux à l'aide de quelques fidèles compagnons. Mais est-ce possible lorsque l'on a que quinze ans ?

Août 1664 Ana n'est personne. Il ne lui reste de son enfance qu'un prénom, un pendentif en or et un rêve, toujours identique. Comment aurait-elle pu deviner qu'elle est la clef du destin du plus grand des Rois ? En déjouant les plus sombres secrets du pouvoir, la jeune fille va devoir faire face à son propre passé. Et si ce dernier signifiait sa perte ? ******* " - Je vous hais Gabriel. Vous êtes suffisant, arrogant, totalement égocentrique. Vous n'avez d'attention pour personne d'autre que vous-même et cela vous enchante. Je hais tout ce qui fait de vous l'homme que j'ai devant moi. - Et moi je vous aime. Voyez comme la vie est mal faite. "