Et puis celui qu'on appelait Roshe est revenu, bourré de fautes et de mensonges. Kyrel ne l'avait jamais vu : il ne s'intéressait pas à ce genre de gamins. Alors pourquoi lui avoir répondu ?

Pour caser sa mère, Gaspard est prêt à tout. Même à claquer son indemnité de licenciement économique et lui offrir une croisière en Méditerranée à bord du « Romantica ». Rosa, toute jeune soixantenaire, drôle et attachante, mais totalement déprimée, n'acceptera ce cadeau qu'à une seule condition : que son fils l'accompagne. Gaspard s'y résout et embarque dans ce bateau grand luxe, endetté jusqu'au cou, mais heureux de voir sa mère sourire. A bord, il rencontre Lino, serveur italien timide, voire introverti, qu'il s'amuse à taquiner, bien décidé à le faire sortir de sa carapace d'ici la fin de leur séjour. Bien que tout les oppose, les quinze jours sur ce paquebot les lieront à tout jamais. Le fils à maman et l'indépendant. La grande gueule et la gueule d'ange. Et si en plus Rosa s'amourache du directeur de la croisière, ces vacances promettent d'être pleines de rebondissements inoubliables.

ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.

Il paraît que les rencontres sont le fruit du hasard. Il paraît que les chocs émotionnels peuvent nous faire dérailler. Il paraît que l'amour se trouve là où on ne l'attend plus. Lorsque Mathias apprend la mort brutale de sa mère, de laquelle il était excessivement proche, son quotidien s'effondre. Le trentenaire à la routine bien huilée devient l'ombre de lui-même. Peu à peu, il sombre dans la dépression, dont personne ne semble capable de le sortir, pas même sa femme. Pire encore, son corps ne suit plus. Très vite, il découvre des ganglions sur son cou, ce qui alarme son entourage. Quand il consent enfin à se rendre chez le médecin, les résultats sont sans appel. La maladie le ronge. Alors, tout s'enchaîne. Mathias commence des séances de chimiothérapie. A l'hôpital de jour, il rencontre Axel, un infirmier blasé par son métier et renfermé sur lui-même. Suite à une rupture douloureuse, le jeune homme exècre le monde entier, même ses patients. Souvent repris à l'ordre par ses supérieurs, il songe de plus en plus à démissionner. De son travail, sans aucun doute. De la vie, surtout. Ces deux êtres brisés vont-ils pouvoir se reconstruire ? Leurs balades à l'ombre des saules pleureurs vont-elles réussir à les apaiser ? Parviendront-ils à bâtir ensemble un avenir plus serein ?

Abstème et Orviétan - deux adolescents paraplégiques et farouchement opposés - se décident à créer au gré des mots, une réalité, qui, ils l'espèrent, comblera définitivement leurs maux. « Qu'est-ce que tu fous avec tes roues dégueulasses sur mon ponton, mec ? - Qu'est-ce que tu fous avec un joint dégueulasse à la Colonie, mec ? - J'emmerde la Colonie, et je t'emmerde aussi. - Quel dingue. - Quel chieur. - Hé, mais qu'est-ce que tu fabriques ? - Ça me paraît évident : je vais dans l'eau. »

Gabin est le rat des villes. Parisien, bavard invétéré, il réalise de brillantes études de droit dans le but de devenir avocat. Lorsque son grand-père, qu'il n'a pas vu depuis plusieurs années, lui propose de passer l'été dans sa ferme sur les Côtes anglaises, il y voit l'occasion de se la couler douce au bord de l'eau. Bien entendu, Paul Rossignol, récemment veuf et un peu bourru, lui a prévu un tout autre programme : traite des vaches, ramassage de légumes, sciage du bois... Durant cet été plein de surprises, Gabin va faire la rencontre d'Isaac. Isaac est le rat des champs. Peu bavard et taciturne, le jeune homme travaille dans la ferme de Mr Rossignol depuis plusieurs années et espère prendre la suite de son patron. Il ne voit donc pas l'arrivée de Gabin d'un bon œil et se retrouve très vite agacé par sa maladresse et son babillage incessant. Même s'ils viennent de deux univers différents, Gabin et Isaac apprendront peu à peu à s'apprivoiser. (ATTENTION : si vous êtes homophobe et ne supportez pas l'idée que l'amour est partout, quel que soit notre sexe, passez votre chemin, merci.)

Barnabé a la flemme de résumer son histoire ce soir. Il préfère juste te prévenir, cher lecteur ou lectrice, que son roman pour ados est très douteux mais très marrant (et ça c'est encore à vérifier). Par conséquent, Thalès te recommande de commencer par lire le prologue foireux. (NDA: Ah oui aussi, pour me la péter, fallait que je précise que ce bouquin tout pourri a vraiment gagné les wattys une fois dans la vie!) © larmesmauves - 2017

L'internat est un cauchemar pour beaucoup, mais tout change lorsqu'il le rencontre. Camille, un nom à consonance féminine appartenant pourtant à un adolescent aux cheveux blonds et aux yeux verts. Un sourire lui dévorant la moitié du visage, une moue enjôleuse, une cigarette à la bouche, il va bouleverser son monde, bousculer ses habitudes et démolir ses préjugés. - « Je suis du genre à m'amouracher de la Lune alors que je ne suis qu'une étoile. » Un peut-être, un thermos, un sourire et deux émeraudes. - « TU AS MIS DU WHISKY DANS TON CAFÉ ? » histoire en cours de correction.

2037, la science a fait de nombreuses avancées, notamment celle de garder les neurones d'un mort actives seulement pour une durée de quarante-huit heures après son décès, ce qui permettrait à l'un de ses proches de pouvoir lui faire ses adieux en se connectant à son cerveau et en se plongeant dans un monde parallèle. Short story gay.

« Dans ce monde sans scrupules, il y a ce genre de personne qui se couvre dans un tissu de mensonges sans fin. Ce genre de personne hypocrite. Ce genre qui sont persuadés de connaître la vérité sur la vie. Et puis il y a ce genre de personne qui eux, osent se montrer tel quel. Il y a un monde ignoble qui défile sous vos yeux. » Les homophobes peuvent déjà quitter. Tous droits réservés. Toute forme de plagiat est interdit.