Titouan Levigreens a seize ans. Il déprime. Il a toujours son cahier orange avec lui. S'il est orange c'est parce que c'est la seule couleur qu'il n'a pas sur son corps. Il a du bleu, du violet, du vert, du rouge et du jaune mais pas d'orange. Parce que les hématomes ne sont pas orange. ☆ Photo de couverture de Ryan Johnson TERMINÉ

Ana était elle-même, et c'est ça qui faisait peur aux autres. ➖ commencé en avril 2016 🔆 terminé (06.2016) > couverture provisoire pour des raisons de droits d'auteurices <

c'est à propos d'un ami à moi qui était pyromane il jouait toujours avec le feu

Son père lui disait toujours : « Ne laisse personne te changer, reste toi-même quoiqu'il arrive. Et sois fier de la personne que tu es. ». Mais quand Finnegan, à l'âge de 14 ans, décide enfin de s'affirmer, elle s'attire les foudres de tout le monde. Son père, qui lui révélait de si belles paroles, disparaît du jour au lendemain en ne laissant qu'une lettre cruelle et abandonne Finnegan face à une mère honteuse et une sœur incapable de le comprendre. Les jeunes autour d'elle la considèrent comme anormale, monstrueuse, détraquée... Pourtant Finnegan n'a fait qu'être elle-même, mais dans un monde où même cela semble être interdit. Que se passe-t-il alors quand elle prend la décision d'agir ?

Vivaldi, elle a une peau de porcelaine et une crinière où naissent des étoiles.

Jacques a dix sept ans. Il est aveugle. Jacques sait qu'il est idiot. Il est seul. Il a juste cet ami imaginaire. Pas vraiment imaginaire, en fait. Alors, oui, il lui parle. Il parle tout seul. Idiot. Fou. Idiot. Idiot. Stalagmite. Jacques attend son moment eurêka. Non. Mieux. Il attend son moment Jacques a dit. Et il y a ce révolver. Et ce garçon aux cheveux verts qui débarque de nulle part. L'indien du pow-wow et du rodéo. Viré de la réserve parce qu'il s'est teint les cheveux. En vert. Et puis il y a Trent. Ce garçon qui accroche Jacques à la balançoire, qui le frappe et qui le déshabille. Jacques voudrait aussi comprendre pourquoi est-ce que Trent est si méchant avec lui. ☆ Cette histoire m'appartient merci de ne pas plagier. ☆ Photos trouvés sur Internet ; une de Matthias Tyllander, deux de Ryan Johnson. TERMINÉ J'ai compris longtemps après avoir écrit cette histoire que ça a été un moyen d'exprimer un traumatisme dont je n'avais pas encore conscience. Je comprend aujourd'hui que c'est une métaphore de ce que j'ai vécu. Je fais des parallèle entre l'histoire de Jacques et la mienne. Jacques m'a aidé à mettre les mots sur des choses qui ont aujourd'hui des répercussions sur ma vie.

Pastabox renversé, pantalon déchiqueté, front tapé, lèvres percées, bêtises et carrosse. Ça résume assez bien ce qu'a vécu Charlie avec Amalia, franche asiatique détestant tout ce qui n'est pas du théâtre. Charlie est le gars louche qui vit sa vie dans un carrosse et un Super U. Amalia est une jeune fille bizarre qui n'arrête pas d'espérer et qui porte des t-shirts troués. Et quand les deux se rencontrent dans le carrosse du dépôt du lycée, deux mondes opposés se rencontrent, se mélangent et forment une histoire à raconter. © larmesmauves - 2015

Il était extraverti. Elle était timide. Il était impulsif. Elle était précise. Il aimait dessiner. Elle aimait lire. Il était insolent. Elle était douce. Il était passionné. Elle était poétique. Il était Mathis, elle était Thaïs. Ils étaient tous deux un peu perdus. Et une nuit, ils se rencontrèrent. Et un matin, ils s'embrassèrent. Mais avant ça, il y eût un million de mots échangés. Après ça, il y eût le jour avec ses millions de doutes, ses millions de larmes, ses millions de déceptions. Nos amours sont-ils voués à disparaître au petit matin lorsque la lune s'est envolée ?

Il y a elle, complètement perdue et noyée dans son chagrin : "Je me fiche de ce qui m'arrive. Je me réveille en pleine nuit. Jamais désorientée, jamais perdue, puisque ma vie n'est plus qu'un trou noir sans importance, et je dois m'en débarrasser au plus vite." Et il y a lui, il a un trou dans le cœur, un vide qu'il ne comblera jamais. Et pourtant, il est prêt à mettre sa vie de côté pour la sauver, elle, celle qui se déteste. "Si jamais tu changes d'avis, et qu'à défaut de mourir tu t'en vas seulement loin d'ici pour oublier tous les souvenirs alors sache que si tu veux que je te rejoigne, tu n'auras qu'à m'appeler, je serais toujours là." «Laisse-moi le pouvoir d'essayer de te sauver, dit-il, une lueur triste dans les yeux.» //Cette histoire m'appartient entièrement, il est donc interdit de la copier ou de la plagier\\

Raphaël est schizophrène et il vient de se faire interner dans un asile, où il fait la connaissance de la charmante Mathilde, la sociopathe, et de beaucoup d'autres personnes toutes aussi instable les unes que les autres. Un jour un des patient est assassiné et Raphaël poussé par ses hallucinations, se met en tête de trouver le meurtrier, alors que la police a classé ça en suicide.