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2 stories
Georges, le monde et moi. by illana_ca
illana_ca
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    Parts 10
ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.
Jacques a dit fermez les yeux by AuggiePullman
AuggiePullman
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    Parts 23
Jacques a dix sept ans. Il est aveugle. Jacques sait qu'il est idiot. Il est seul. Il a juste cet ami imaginaire. Pas vraiment imaginaire, en fait. Alors, oui, il lui parle. Il parle tout seul. Idiot. Fou. Idiot. Idiot. Stalagmite. Jacques attend son moment eurêka. Non. Mieux. Il attend son moment Jacques a dit. Et il y a ce révolver. Et ce garçon aux cheveux verts qui débarque de nulle part. L'indien du pow-wow et du rodéo. Viré de la réserve parce qu'il s'est teint les cheveux. En vert. Et puis il y a Trent. Ce garçon qui accroche Jacques à la balançoire, qui le frappe et qui le déshabille. Jacques voudrait aussi comprendre pourquoi est-ce que Trent est si méchant avec lui. ☆ Cette histoire m'appartient merci de ne pas plagier. ☆ Photos trouvés sur Internet ; une de Matthias Tyllander, deux de Ryan Johnson. TERMINÉ J'ai compris longtemps après avoir écrit cette histoire que ça a été un moyen d'exprimer un traumatisme dont je n'avais pas encore conscience. Je comprend aujourd'hui que c'est une métaphore de ce que j'ai vécu. Je fais des parallèle entre l'histoire de Jacques et la mienne. Jacques m'a aidé à mettre les mots sur des choses qui ont aujourd'hui des répercussions sur ma vie.