Bonjours mes frères et sœurs , Donc voici la chronique qui m'a été inspirée par le Saint-Esprit ma chronique n'est pas du tout là pour critiquer une religion ou dire que cette religion n'est pas bonne chacun est libre de choisir sa religion mais je voulais vraiment vous écrire cette chronique car elle pourra peut être toucher des personnes et j'espère qu'elle touchera des personnes 🙏🏾❤️ Je vous souhaite à tous et à toute une bonne lecture de ma chronique et que Dieu vous bénisse 🙏🏾 ▪️Alya, Jésus à changée ma vie ▪️

Quand un mariage arrangé suite à un évènement imprévu bouleverse deux vies à l'opposé. Embarquez dans la vie plus que compliquée d'Ezralia et de Zayn, deux jeunes mariés au caractère bien trempé. Entre amour, colère, joie, tristesse, jalousie et encore plus..

Au printemps 1680, les journaux relayent un mystérieux phénomène. A Paris, un mystérieux bandit masqué, armé de son arc, vole les riches pour donner aux pauvres. Rapidement, la fièvre du Robin des Bois français gagne les petits gens asphyxiés par les impôts du Roi. La Noblesse terrorisée fuit la Capitale et s'inquiète de l'inaction des autorités de La Reynie, Lieutenant de Police, débordées par les affaires de Poison. Le provocant et séducteur Nicolas de France, Prince de Sang, revient à Versailles. Après un long exil, celui-ci décide de visiter la Capitale avec son ami, le comte de Riaux, va se faire dérober par le mystérieux hors-la-loi. Aëla, une fougueuse orpheline, admire ce voleur au grand cœur. Elle, qui ne cesse de tourner en ridicule les extravagances versaillaises, va se retrouver mêlée malgré elle aux affaires de la Cour. Entre séduction, tentation, jeux de cache-cache, pièges, conspirations, enchantements, fêtes somptueuses et désillusions, les masques tomberont. Aëla apprendra que les apparences sont bien trompeuses. Certains secrets sont plus dangereux dévoilés que cachés dans la demeure du Soleil.

Arès est un adolescent qui, un jour, se tait. Son mutisme désempare ses proches qui finissent par le délaisser, laissant le jeune homme face à son propre silence. Et comme Arès a abandonné les mots, la peinture devient sa façon de s'exprimer, bien que personne ne sache décrypter ce qu'il dessine. Personne, sauf Ève, la pianiste.