Des petits one-shot centrés autour de personnages trans, la plupart du Fandom Sherlock, mais des fanfics Harry Potter et Leverage sont prévus

« J'ai toujours été un garçon... Alors pourquoi m'avez vous appelé Victoria? » • 31/03/19: Première publication de ce livre en cette date symbolique qu'est le 31 mars pour toutes les personnes trans, à savoir la journée mondiale de la visibilité trans. Et plus précisément cette année l'anniversaire des dix ans de la création de cet événement lancé en 2009 par Rachel Crandall, transgenre activiste. -2019-

Il y avait une fois, un jeune homme sans mains, fils de meunier et un prince rêvant de machines volantes, pour élever les Hommes et non brûler le ciel. Tout semble les opposer, mais le destin les lie. Or une créature malfaisante l'est aussi au jeune homme et cela depuis ses treize ans, à cause de l'avarice. Peuvent-ils échapper à sa malédiction et à l'avidité des Hommes ? --- Ceci est une réécriture du conte "La jeune fille sans mains" des frères Grimm, je prends donc des libertés comme créer une romance homosexuelle, changer les personnages et en inventer par exemple. Connaître le conte n'est pas obligatoire, cette réécriture est un roman de dark fantasy s'affranchissant de la forme du conte, possédant moins de merveilleux que l'original. Plus d'informations sur ma réécriture, quand elle sera terminée. AVERTISSEMENT ! Ce récit contient sur plusieurs segments de la politique, ne pas fuir. Plus sérieusement, ce roman contient aussi de la violence décrite, des viols, des tentatives de meurtres et des suicides. L'œuvre verse dans la dark fantasy. Ce roman est sous le signe de l'Avarice. Premier d'une heptalogie. La couverture de ce récit est faite à partir d'une œuvre originale de l'artiste William Morris. Elle est dans le domaine public, je l'ai modifié selon les lois en cours, n'hésitez pas à découvrir l'œuvre de cet homme ayant révolutionné les arts décoratifs.

"Je sens le tiraillement, timide, de ma vie qui se vide dans la mer, qui me tire vers le bord, qui m'allonge sur le sable, avec les vagues qui me caressent le visage et me chuchotent mon corps brûlé." Un soir de juillet. Il fait chaud, trop chaud. Maman est belle, beaucoup trop belle pour que ce soit vrai.

Il y a 6000 ans, Dieu créa le monde. Vous connaissez l'histoire: Ève, Adam, la pomme, le serpent... Peut-être connaissez-vous aussi l'histoire, plus confidentielle, de l'ange chargé de garder le Jardin, Aziraphale, et du démon venu effectuer quelques tentations, Crowley... Restés sur terre parmi les humains, sensés les influencer tout au long de l'Histoire et jusqu'à la fin du monde, ils finirent par les aimer et par s'aimer eux-mêmes, défiant à la fois l'Enfer et le Paradis... Le tout dans une Bentley, sur un air de Queen, non loin d'une vieille librairie. ~ Quelques OS sur Good Omens! Je me baserai principalement sur la série (sauf indication contraire), avec peut-être quelques éléments des livres... Il faut avoir vu la série pour comprendre :) Pas de lemon :) ~ Le magnifique fanart de la couverture a été fait par f-ox-y, que vous pouvez trouver sur Tumblr ici: https://f-ox-y.tumblr.com/post/185634136746/im-soft (je vous conseille d'aller voir ses magnifiques fanarts!), qui m'a gentiement autorisé à utiliser son oeuvre pour cette couverture :3

Bonjour bonjour, voici une histoire très peu sérieuse à propos de mon AU ( alternative univers ) de Good omens. Bon bah c'est dans le titre quoi. ... Ils sont à l'école! ( désolé mais vous êtes un peu con si vous n'aviez pas compris ) Vous voulez peut-être plus de précisions? Et bien nous suivons l'histoire d'Anthony J. Crowley, con et un peu méchant mais aussi gay as fuck, et Azira R. Fell, petite victime et crush d'Anthony depuis la maternelle. Je pense ne pas vous spoiler en vous disant qu'ils tombent amoureux. PAR CONTRE attention Y'a du cul ( un peu beaucoup) Why? Because I'm horny, bitch, don't fucking ask questions. ( ui, je suis à l'image des mes personnages, gay as fuck ) DONC Pour régler cette histoire de cul, je vais mettre un espèce de code ( c'est dans le premier « chapitre » ) comme ça, si vous aimez pas, vous êtes prévenu. Je sais, je suis formidable et incroyablement gentil.

Pour chaque chapitre, une lettre de l'alphabet. Pour chaque lettre de l'alphabet, une courte histoire... Mystrade, bien entendu. Parce qu'il n'y a rien de meilleur pour le cœur qu'un inspecteur amoureux d'un homme avec un parapluie noir. Excepté un homme avec un parapluie noir amoureux d'un inspecteur... Greg Lestrade et Mycroft Holmes, de la série BBC... Je préviendrai en cas de lemon. L'image utilisée sur la couverture ne m'appartient pas.

Londres, 1945. Dans cette ville dressée sur d'immenses tours métalliques, hantées par les silhouettes de gigantesques dirigeables, résonnent les échos d'une terrible guerre opposant les Darwinistes et leurs créatures génétiquement modifiées au reste du monde. John Watson, médecin militaire au passé trouble, erre à la recherche d'un métier et d'un endroit où habiter. Un peu par hasard, il atterrit au 221b Baker Street, où un certain Sherlock Holmes l'embauche comme homme de main. Watson a à peine le temps de s'installer que d'ignobles meurtres bouleversent la noblesse. À la poursuite de l'assassin, le détective misanthrope et le soldat traumatisé devront bien apprendre à se faire confiance... Du moins, s'ils veulent en ressortir vivants. ~ Inspiré directement des personnages de Conan Doyle (pas de la série Sherlock ou des films avec R.Downey Junior), mais avoir lu les livres n'est pas nécessaire pour comprendre :) La relation Holmes/Watson reste platonique ici, même si elle peut être lue comme un début de romance Tout public Histoire terminée Plus de précisions dans le premier chapitre ;) Couverture par moi :)

Un preux chevalier, vaillant et noble, part en quête d'un ennemi terrible, un monstre de légende au cœur plus noir que les plus profondes fosses infernales... Ou du moins il aimerait. Au lieu de ça, il se retrouve coincé entre une marchande psychopathe, des cultistes ivrognes et, comble de l'horreur, un moine pacifique. Privé de son arsenal mortel, il va devoir user de trésors d'ingéniosité pour survivre aux vendanges les plus périlleuses de sa saga. Le tout avec la bouche si couverte de plâtre que chacune de ses punchlines se noie dans des borborygmes postillonnants. Autant se servir un verre alors. La vérité est dedans, parait-il.

Puis s'asseoir sur la lune et regarder la vie