Je partage avec vous mes coups de blues, mes envies, mes retrouvailles, mes malheurs, mes amours, mes engueulades, mes humeurs, mes choix, mes pertes, mes bonheurs...
«Ô Lucifer, ô laisse-moi, rien qu'une fois, glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmelralda»
Il aurait aimé les maudire tous...
Il aurait voulu commettre plus de mal encore pour démolir une à une toutes leurs certitudes.
Ils n'oublieraient jamais son visage.
Qu'ils brûlent tous en Enfer... Les mensonges...
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Aucun rapport avec l'oeuvre de Victor Hugo, c'est juste que dans un moment de folie j'ai repensé à la chanson de la comédie musique et j'ai changé les noms.
Un livre mort né qui essayera malgré tout de survivre, comme l'héroïne dont il narre les aventures.
Violence, sang, sexe et autres scènes dégueulasses à déconseiller aux plus jeunes ou aux âmes sensibles.
A vrai dire je me déconseillerais même de l'écrire.
Mais on ne peut pas faire du Zombie propre. Non, on ne peut pas.
Parce que la poésie en est sa petite soeur. Parce que à la lumière de ceux qui les connaissent, leur union est plus pure que l'une ou l'autre séparées. Quelques fragments d'instants éphémères.
Qu'es-tu à l'intérieur? Une pauvre fleur égarée, un grand guerrier, un tas d'os, une princesse, un dragon, ...
Es-tu dans la réalité, dans le rêve ou dans le cauchemars.
Dans quel monde veux-tu vivre ou survivre?
Et surtout, dans lequel y arriveras-tu?