classiques
10 stories
Hernani by gutenberg
gutenberg
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Le comte de Monte-Cristo, Tome I by gutenberg
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La princesse de Clèves by gutenberg
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Supplement au Voyage de Bougainville by gutenberg
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Les Fleurs du Mal by gutenberg
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Boule de Suif by gutenberg
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Au bonheur des dames by gutenberg
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Madame Bovary by gutenberg
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Le dernier jour d'un condamné by ChaimaKharrat
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Au dernier jour de sa vie, a quelques heures de l'echafaud, un condamné à mort remonte le temps, et raconte leur incarcération à Bicêtre, jusqu'en place de Grève, et trace sur le papier, ses dernières pensées, ses dernières impressions, ses dernieres sensations. Essentiellement construit sur le monologue intérieur, le recit nous donne a entendre les angoisses et les tourments d'un homme près de mourir. J'ai choisis ce roman pour que je commance à ecrire ! C un roman de mon ecrivain prèferé Victor Hugo! Je me presente ! Une fille tunisienne a l'age de 16ans!! Soyez là
Jane Eyre by lirepourlavie
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    Parts 38
OEUVRE DE CHARLOTTE BRONTË «Il était impossible de se promener ce jour-là. Le matin, nous avions erré pendant une heure dans le bosquet dépouillé de feuillages ; mais, depuis le dîner (quand il n'y avait personne, Mme Reed dînait de bonne heure), le vent glacé d'hiver avait amené avec lui des nuages si sombres et une pluie si pénétrante, qu'on ne pouvait songer à aucune excursion. J'en étais contente. Je n'ai jamais aimé les longues promenades, surtout par le froid, et c'était une chose douloureuse pour moi que de revenir à la nuit, les pieds et les mains gelés, le cœur attristé par les réprimandes de Bessie, la bonne d'enfants, et l'esprit humilié par la conscience de mon infériorité physique vis-à-vis d'Eliza, de John et de Georgiana Reed. Eliza, John et Georgiana étaient groupés dans le salon auprès de leur mère ; celle-ci, étendue sur un sofa au coin du feu, et entourée de ses préférés, qui pour le moment ne se disputaient ni ne pleuraient, semblait parfaitement heureuse. Elle m'avait défendu de me joindre à leur groupe, en me disant qu'elle regrettait la nécessité où elle se trouvait de me tenir ainsi éloignée, mais que, jusqu'au moment où Bessie témoignerait de mes efforts pour me donner un caractère plus sociable et plus enfantin, des manières plus attrayantes, quelque chose de plus radieux, de plus ouvert et de plus naturel, elle ne pourrait pas m'accorder les mêmes privilèges qu'aux petits enfants joyeux et satisfaits.»