Depuis presque mille ans, les anges, établis en la cité céleste d'Eden, font régner sur la planète Daln la justice suprême du dieu Unum. Lorsqu'Eden disparaît dans le tumulte de l'Histoire, Daln toute entière plonge avec elle. Puisqu'un monde disparaît, de nouveaux empires seront forgés de ses cendres, scellés de son sang. Mais derrière chaque intérêt personnel, derrière chaque certitude, chaque mensonge, le Mal chemine en ces âmes enténébrées, orphelines de la Loi divine. Aux uns il donne le pouvoir, aux autres le ressentiment. Au nom de la justice et de la nécessité, il invoque le démon de la guerre. Anges, vampires, humains et dryens sont des quilles dans son jeu ; le spectacle commence.

Objectif : l'an 125 410. Un voyage à boucler rapidement, de préférence. Cela ne ferait d'Arthur que le tout premier touriste temporel, s'il n'était pas poursuivi par ce système de surveillance mondial, un monstre invisible régnant sur la Terre à toutes les époques et ayant décidé de l'arrêter. Et si 125 410 n'était pas la date de la fin du monde. Il serait peut-être temps de se souvenir un peu plus précisément pourquoi il court. D'ici quelques jours, il sera trop tard.

Le monde des Derniers Hommes n'est plus qu'une ombre. Le Temps, seul maître des lieux, joue comme il veut avec cette réalité dissoute, dans laquelle hommes, dieux et démons se croisent et dérivent. Parmi ces fantômes, peut-être Akin est-il le seul encore sur un chemin, à suivre une piste qui ne cesse de s'effilocher, à chercher parmi les rêves un autre rêve, porté par la crainte de le voir disparaître comme tout le reste. Un dernier jeu, une dernière course contre la voracité de l'oubli. -------------------------------------------- Playlist : la 6e symphonie de Mahler, bien sûr. Ou une bonne musique atonale si vous en avez sous la main.

Depuis cent mille ans, la Galaxie est un endroit paisible. Comme le sont tous les cimetières. Un lieu d'une infinie solitude. Du moins, jusqu'à ce qu'Orion, messager du passé, revienne, comme pour mettre un terme à ce calme - ou peut-être, justement, y apposer un point final. Playlist : la BO d'Interstellar, bien sûr.

Abréaction [abʀeaksjɔ ̃] n. f. PSYCH. Brusque libération émotionnelle. "Tu sais, je l'ai observée, longtemps. Et tout ce que je peux affirmer d'elle n'est que néant Parce qu'elle fait partie de ces gens Que la vie n'atteint jamais vraiment." #FreeYourBody

2102. Pour de mystérieuses raisons, l'ONU décide de lancer un programme pilote nommé ELIT approuvé par une trentaine de pays. Le concept est simple. Dans chaque pays, seize jeunes possédant chacun un don intellectuel sont recrutés et bénéficient d'une éducation très encadrée. 10 ans plus tard et contre sa volonté, Sym Wellington, un adolescent capable de déceler les tics mensongers sur les visages, intègre le programme américain. Merci à @HannersVersefield pour la couverture.

Le monde que nous avions connu n'existe plus. Tout à été submergé. Les plages de Santa Monica, rayées de la carte. La Statue de la Liberté, écroulée. Les continents, engloutis. Il y a soixante ans, de violents cataclysmes ont tout ravagé. En 2078, plus rien n'est comme avant. Tout ce qu'il reste du monde, ce sont cinq petites îles, parfaitement régies, contrôlées, définies : New-Islands. Elles représentent la génération passée, composée de citoyens tous descendants de survivants à la Catastrophe. Mais elles représentent surtout le futur. Maintenant, tout est sous contrôle. Emerson Kindell, fille du Roi de New-Islands se voit promise contre son gré à une compétition pleine de failles. River Hadley n'a rien à faire là. Il voudrait être partout ailleurs. Alors il s'est fait une promesse : jamais il ne gagnera ce jeu. Il ne veut pas d'Emerson, elle ne veut pas de lui. Pourtant, ils auront besoin l'un de l'autre pour gagner. Ils ont décidé de jouer à leur propre jeu. Avec leurs propres règles. ××× SOUS CONTRAT AUX ÉDITIONS PLUMES DU WEB.