Je m'appelle Candisse, j'ai 24 ans, histoire de famille compliquée , j'ai du arrêter mes études, pour une mère alcoolique dont je dois m'occuper. Je me suis dons résolu à finir dans le monde de la nuit, oui je suis strip teaseuse. Bien que ce n'est pas du tout l'avenir dont je rêvais. Je voulais être avocate, mais il fallait que je sois présente pour ma mère et surtout ma petite soeur, Camille, 12 ans. Ma vie, ma vie pleine de rebondissements. Je me considère comme une femme libre, des histoires de quelques semaines, pourquoi pas, mais d'amour, jamais. Mon père a rendu ma mère malheureuse, elle est devenu n'importe qui, n'importe quoi, étant petite, j'ai vu des choses qui me hantent toujours. Alors non, les hommes, tous les mêmes, ou peut être pas, mais je ne prend aucun risque d'attachement. Quand je vois que ça va trop loin dans une histoire, je fuis. C'est ce que Candisse pense, sous sa carapace dû à son passé , dont elle ne parle à personne, même ses amis les plus proches ne sont pas au courant, mais un soir elle va rencontrer Thomas, pensant que c'est encore une histoire éphémère , le beau jeune homme ne lâchera pas l'affaire de si tôt , bien qu'il ne sache pas quel travail elle pratique... (Je m'excuse par avance des fautes d'orthographe, je suis très nul en conjugaison, mais essaierai tout de même de corriger par la suite, une fois l'histoire finis. Merci par avance. :)!)

- Lâches moi Ethan ! hurlais-je en riant - Alors dis le moi, répliqua t-il - Je .. - Oui ? Je m'arrêtai un instant de rire et le fixai intensément. Il était tellement beau. A cet instant précis, le monde semblait s'arrêter de tourner autour de nous. Quelques signes d'impatience se dessinait déjà sur son visage. Il n'en pouvait plus, et moi j'avais tout simplement arrêter de respirer. - Thaïs, bougonna t-il. Dis le moi, s'il te plaît. Un instant, l'envie de le faire patienter encore me tenta véritablement. Mais à quoi bon ? C'était une évidence pour lui, pour moi et pour tout le reste de la planète. Je plantai mon regard dans le sien, et murmurai enfin : - Je t'aime Ethan.

se yon trè bèl istwa kap pale nou de fason inpe jèn jere lanmou yo pandan tan yo te toujou nan lekòl yo déjà map swete nou byen li chak pati pou nou ka toujou konprann li

Démons du passé, démons vengeurs, démons n'ayant aucune face, démons juges. Il les vit qui escortait la mort. La mort dans ses habits de voyages, noire comme cette sale nuit. Noire comme son âme qui était en train de se putréfier lentement dans la dépouille ambulante qu'était devenu son corps. Elle venait le chercher et lui, il fuyait. Il regrette de les avoir écoutés, il regrette d'avoir été la main du mal. Et puis comment pouvait-il savoir, comment pouvait-il faire le tri quand durant toutes ses nuits, il rêvait de l'or, de l'argent, de la vie insouciante et égoïste des riches ? Il courait dans la nuit noire, ses guenilles aux vents, son corps lacéré de longues striures rouges, séquelle de griffe des démons lancés à ses trousses. Il courait tellement qu'il volait presque. Il fallait trouver refuge, il fallait se terrer au plus vite. Il sentait déjà leurs regards de feu, il sentait qu'ils le rattrapaient. Puis, dans l'obscurité énervante d'une nuit aveuglante, sans repères, il entendit le cri d'un rapace qui fondit sur sa silhouette. Rapide comme l'éclair. L'instant d'après, une douleur à nulle autre pareille lui zigzaguait le dos en des trainées rouges, flamboyantes. Il trébucha en tombant dans une mare boueuse. Il s'entortilla tellement la sensation de mal était vivace et insoutenable. Il se releva pour faire face entre les deux jarrettes d'un porc qui lui vida au visage le vidange de ses intestins de merde. Ils riaient, ces démons de malheur. La cacophonie de leurs voix sépulcrales lui emplit la tête au point de lui exploser la matière grise. Il se la prit entre les deux mains : «Allez-vous en ! Laissez-moi tranquille. Foutez-moi la paix.». Un mauvais cauchemar, oui, voila ce que c'était, un mauvais cauchemar. Il se dit qu'il allait réveiller et retrouver a ses cotés la douce Vava, son pognon et tous les biens qu'il avait acquis au prix d'un grand sacrifice. Il fallait qu'il la trouve cette putain de refuge.

Je suis pas un démon, je suis le diable. Terminé.

"Je ne suis qu'une esclave. Un objet de chair. Je ne connais rien des bienséances de la présentation, sinon qu'à travers la bite qui se faufile dans ma chatte rousse, me souille la bouche ou me défonce le cul. Dis-moi comment tu baise je te dirai qui tu es.... Les noms ne sont que vaines formalités. Moi j'entends le mien à travers chacun de vos soupirs, vos perversités maladives... J' entend mon nom à travers vos injures. Celle-là même qui ne font que me gonfler de fierté monsieur l'Homme Libre. Je n'ai jamais aimé n'être désignée que par un simple mot. Cela me fait me sentir trop... ordinaire. Mais bon, dites tout simplement Adriana. Dites le si jamais vous ressentez l'urgence d'un nom propre à hurler pour mieux supporter ce mal nécessaire dont je vais devoir vous faire endurer..."

Vivant en Haïti, la vie ne peut être facile pour tout le monde. En Haïti, il y à deux moyens de survivre: nager pour se sortir la tête de l'eau par tout les moyens ou rester sous l'eau et se laisser submerger par les problèmes. Marie Helena Pierre est mon nom, j'ai réussi à tenir ma tête hors de l'eau en me prostituant. Et cela ne me dérange guère tant qu'il y à: argent et sexe. Femme ou homme, tout mène au plaisir ! Mais, ne dit on pas que tout a une fin. La mienne sera t-elle heureuse ou pas?

De couleur café,elle est une belle et envoutante Haitienne destinée à devenir une déesse de l'eau. Un déstin effayant,qu'elle éssaie de fuir...mais peine perdue. Une promesse est une promesse !! Lui,amant de l'aventure,d'origine Américaine veut à tout prix la connaitre...et ceci dans tous les sens du termes...!! Mais comment peut il etre encore attirer par elle lorsque le destin de cette dernière devrait lui faire prendre ses jambes à son cou ??? Tout comme lui,faites la connaissance de cette terre mystérieuse.Découvrez sa culture,la beauté de ses femmes,ses vieilles coutumes et par dessus tout laissez vous surprendre par son coté mystique.....

Les vagues léchaient doucement la coque de la SANTA FÉ et la brume montait dans l air soudain plus chaud avant de se dissiper . Mike Enrique ne regretta pas d' avoir jetté l' encre dans la mer des caraïbes spécialement à îles à vache en Haïti .Son verre de barbancourt en main il glissa son regard sur une jeune fille couchée sur le sable fin non loin de là . Sa peau couleur d' ébène luisait comme l'or sous le soleil couchant . Il sourit, descendit sur le port et s'approcha . Elle semblait si tranquille, on aurait dit qu' elle volait . Sa raison le quittant, il s' approcha et l'enlaca: - Je vous désire ... La jeune fille ouvrit ses grands yeux et le fixa: - Ne me touchez pas! Vous me dégoutez! Mike sourit sous tant d'arrogance . Cependant il la serra plus fort en parsemant son cou de baisers . - Je vous jure sur la tête de ma mère que si vous ne me lachez pas je vous change en revenant! Tout comme Mike Enrique laissez vous submerger par Ayiti la terre mystérieuse de la caraïbe ...

Pwovèb kreyòl Ayisyen