J'ai beaucoup de défauts, toi seul pourra me changer. Je t'ai aimé hier, je t'aime aujourd'hui et peut-être que je t'aimerai encore demain.. Dans la vie on est jamais sûr de rien, qui me dit qu'on sera ensemble jusqu'à la fin ? Si notre amour est le plus fort je pardonnerais l'impardonnable, je ferais l'incroyable, je penserais l'impensable. Créée le 28 juin 2016.

⚠Je suis une enfant de la rue , j'ai été élevé dans ce monde de brute où l'apparence physique compte plus que la douceur du coeur ; forgé par la haine ,l'argent nous à tous detourné du dîne. C'est quant il est bléssé que je souffre ,il en était le sang et moi la veine. Une histoire sous le mensonge et la trahison, voila comment je l'ai aimé ,la haine attache à l'amour... Voilà la terrible histoire de Chaïmae.⚠

⚠Je suis une enfant de la rue , j'ai été élevé dans ce monde de brute où l'apparence physique compte plus que la douceur du coeur ; forgé par la haine ,l'argent nous à tous detourné du dîne. C'est quant il est bléssé que je souffre ,il en était le sang et moi la veine. Une histoire sous le mensonge et la trahison, voila comment je l'ai aimé ,la haine attache à l'amour... Voilà la terrible histoire de Chaïmae.⚠

Je suis handicapé. C'est pas drôle. Mais en fait... Si ! À travers mes Confessions Infirmes, je vais vous raconter différentes anecdotes sur mon quotidien en tant qu'handicapé en fauteuil électrique. Pourquoi ? Pour deux raisons : la première, très sérieuse, est que la question du handicap est encore aujourd'hui très taboue dans notre société, et la deuxième est que je préfère me marrer de certaines péripéties que je vis et que je tiens à les partager. Tout ça sur un ton qui se voudra corrosif à souhait. Comme on dit, « il vaut mieux en rire qu'en pleurer » !

Beaucoup de personnes nous voient comme des bledards.. certains nous disent sans identités. Nos ancêtres travaillaient la canne, loin de leurs pays. Nous sommes des enfants d'esclaves. Nous sommes fiers de notre patrimoine. Nous sommes les enfants de la Guadeloupe, actuellement bercés par la violence des rues. Enfanté par le soleil, par les vagues des plages de Saint-Anne, par les douces alizés des mers voisines. Nous sommes Guadeloupéen(nne)s.

Que ce passe-t-il lorsque deux antillaises quittent leurs îles respectives pour aller vivre dans une cité du 93 ?