(𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐢) Est-ce qu'un cerveau secoué peut produire des images à peu près potables ? « Est-ce que ça ne serait pas chouette de trier enfin tes dessins pour les mettre sur ouatpad ? » a lancé un jour Bruno, mon cerveau, et son sens de l'orthographe freestylo-artistique. Après un long débat entre toutes mes instances Freudiennes et mes flemmards de lobes cervelesques, je suis parvenu·e à la conclusion que, me cachant très lâchement derrière un pseudo des familles, il serait fichtrement difficile de remonter jusqu'à moi si une tierce personne venait à faire une crise d'apotemnophilie en se conjonctivitant la rétine sur mes dessins et souhaitait m'en tenir juridiquement responsable. Tenez-vous donc prêts à découvrir les derniers spasmes d'un·e flippé·e du crayon et de son poisson rouge Hawking, qui s'avère n'être ni rouge, ni un mâle, et d'ailleurs absolument pas impliquée dans cette histoire. (Post-scriptum dans le scriptum : la personne sur la couverture était censé·e être moi, sauf que l'ensemble de ma famille s'est littéralement collée par-dessus mon épaule pour voir ce que je foutais et ça a donné ce croisement étrange entre un·e punk à chien et un gros menton.)

Tout cela aurait pu être l'histoire d'un meurtre banalement inexplicable au cœur d'un Londres fantasmé et recouvert par la neige. C'est aussi l'histoire d'un jeune Parisien excentrique aux idées de travers, qui décide d'entreprendre un tour du monde en plein mois de janvier sur un coup de tête, sans bagages et avec une montre qui ne donne l'heure exacte que deux fois par jour. Arthur Espelune a vingt-deux ans et avec ses drôles de rêves se trouve embourbé au détour d'une escale dans un meurtre sordide. « Pourquoi moi ? » Nous sommes en 1882. Arthur a été comme un (presque) grand frère pendant toute l'aventure et j'ai pris énormément de plaisir à développer ce personnage, un garçon un peu étrange, mal peigné, maladroit, continuellement en ébullition intellectuelle. J'espère que vous vous amuserez autant à lire ce roman¹ que moi je me suis amusé·e à l'écrire. N'hésitez pas à laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir de voir que ce grand frère de travers arrive à vivre dans d'autres têtes que la mienne. Je vous souhaite le meilleur, une bonne lecture et m'en vais combattre des extra-terrestres, pour changer. (évitons d'agiter un chapeau à plume, Arthur y est allergique. Mais le cœur y est. 😊) ⸏ ⸏ ⸏ ⸏ ⸏ ⸏ ⸏ ⸏ 1. Je ne pense pas que l'ambiance soit plombée comme dans certains polars, Arthur reste quand même bien à côté de la plaque pendant la majorité de l'histoire, évitez juste de rigoler quand on parle de cadavres et tout ira bien. Je crois. Autrement, souvenez-vous que vous avez le droit de garder le silence et que tout internement forcé pourra être retenu contre vos détenteurs, le temps que l'affaire se tasse. (Les événements décrits dans le présent ouvrage ne doivent pas être reproduits à la maison sans l'accord d'un adulte.) Illustrations de couverture de l'auteur (comme toujours)!

When a Navy veteran is attacked by a man-eating monster fish in the Bahamas, he has to save himself, and the world, from the madman who created it. Jake Solomon, a naval intelligence officer turned scientist, is on a research mission in the Bahamas when he's attacked by a man-eating monster fish. Determined to expose the corporation who created the creature before they can unleash it on the world, he teams up with his marine biologist ex-girlfriend to face off against the Ocean Blue Corporation and its elusive chairman. But Jake soon finds himself the target of assassins, super soldiers, and a Japanese hitman hellbent on stopping him. (Book One in the Sea Lab Series.)

La famille De Telliers était une fois encore, partie en Floride, afin d'échapper au froid parisien des vacances d'hiver, ceci au plus grand désespoir de Juliette, la cadette. La jeune adolescente voulait à tout prix rentrer chez elle pour aller à Dubaï. Heureusement, la tâche est moins ardue que prévue puisque sa mère doit rentrer à Paris pour ses affaires. Cependant, de retour chez eux, une surprise, et pas des plus belles, les attends. Et l'aîné de la famille fait une découverte plus qu'horrifiante. Comment se débrouillera la petite famille, habituée au grand confort, dans les rues de Paris? Resteront-ils soudés après cette épreuve ? Ceci est une nouvelle, l'œuvre est donc courte, et cela est tout à fait normal. Idée de Kakou 07/01/19 --- 100 vues 03/02/19 --- 200 vues