En 1676, dans la France du roi Louis XIV. Isabelle Constance Madeleine de Langlois, comtesse de Vauboyen, est une jeune veuve de vingt-huit ans plongée dans une profonde dépression suite à la perte de son unique enfant. C'est pour tenter de lui faire un temps soit peu oublier sa peine et la sortir de sa vie recluse que son frère Henri de Montéclair l'introduit pour la première fois à la cour de Versailles. La comtesse rencontre à cet effet le roi et sa favorite, la sulfureuse Madame de Montespan, dont elle accepte de devenir la gouvernante de leurs enfants, malgré sa douleur. Isabelle est cependant troublée dès lors qu'elle découvre l'involontaire attirance qu'elle exerce sur l'œil du Monarque du Soleil. S'engage alors un jeu de pouvoir et d'amour, à tous les risques et périls.

Nora peine à croire ce qu'il lui arrive, elle vient d'être embauchée par le milliardaire le plus réputé de New-York pour s'occuper de sa convalescence. Alors qu'elle pense pouvoir mener à bien son travail, son nouveau patron se montre hostile et dépourvu de chaleur. Très vite un jeu dangereux s'installe entre eux, un jeu qui la pousse à tenter de comprendre ce mystérieux milliardaire au sombre secret.

Si vous saviez ma chère, le nombre de personnes présentes au mariage de Monsieur frère du roi ! C'est que l'événement était de taille, probablement le plus important de l'année. Que dis-je, de l'année ? Du siècle au moins ! Philippe d'Aquitaine, frère de notre bien-aimé roi Louis XV, se marie ! Vous ne devinerez jamais le nom de l'épouse choisie. Sophie de Lorraine et de Bar, oui ma chère ! Mon Dieu, un couple jeune, charmant, parfait en un mot. Ils semblent faits l'un pour l'autre. Le croiriez-vous, on jurerait voir Apollon et Daphné. Quant à l'amour, je gage qu'il sera peu présent. En réalité, ce mariage de convenance sert davantage à réconcilier deux familles qu'à sublimer un amour flamboyant, à lier plus solidement une famille de noble extraction à la Couronne qu'à chanter l'œuvre de Cupidon. Mais ceci est un secret que je vous défends fort de révéler. Non, gageons que notre cher Philippe demeurera cet éternel papillon envoûtant, et que son épouse sera fidèle à sa vie de religieuse effarouchée.