J'ai fait un portait chinois quand j'étais plus petite. Si je devais le refaire maintenant, tout serait différent, les mots et les justifications. Parfois ce n'est pas à propos de ce qu'on veut voir, mais de ce qu'on est.

À dix-sept ans, Teresa habite dans une cité mal famée en compagnie de sa mère héroïnomane et de son génie de petit frère. La dureté de sa condition ne lui fait pas croire à un avenir radieux mais elle n'imaginait pas que ses fréquentations la mèneraient aussi loin de ses rêves de grandeur.

Petits textes joyeux et, je l'espère, sympathiques. :)

Une pause dans mon esprit. Une pause dans mes pensées. Une accalmie de l'ouragan Traversant mon âme. Des fragments De personnages D'histoires D'inventions De moi. #78 en poésie le 1/02/2018 #52 le 3/02/2018 #48 le 6/02/2018 #46 le 7/02/2018 #40 le 15/02/2018 #38 le 18/02/2018 Les images utilisées en média ne m'appartiennent pas toutes (we heart it/tumblr).

"Tu m'as demandé un jour si c'était fini. - Je t'ai répondu que non. - Mais tu t'es retourné. - Et j'ai claqué la porte. - Tu ne m'as même pas dit "au revoir". - Je ne pouvais pas. - Tu n'étais pas obligé de partir. - Tu ne m'as pas demandé de rester." Ils s'aiment, se sont quitté et tentent de se retrouver. Pourtant, la douleur, la haine et l'amour se mélangent pour mener une guerre insoutenable. Un amour de jeunesse impossible, ou un souvenir indélébile ? Telle est la question.