*FREE STORY* with exclusive chapters STORY LEAVING WATTPAD ON THE 2ND OF JANUARY 2025 Mason Langley has just opened up The Amethyst Casino hotel with his best friend Gunner Scott. The two met 2 years ago in a sex club, where Mason was looking for his next hookup, and Gunner was crazily searching for a long-term relationship. The two couldn't be any more opposite of each other. But as they bonded over their past criminal activities, they became the best of friends and set up their 'legit' business to cover up their illegal business. Delilah has just quit her office job finally having enough of living a boring life and now finds herself on a tragic date in The Amethyst. Just when she thought her night couldn't get any worse, it does the minute she makes eye contact with Mason and Gunner. Two men on a mission to drag her down into their dark world. The problem is, that Delilah is stronger than they think, and she doesn't back down from a fight too easily. Mason vows to never fall in love. Gunner craves it like there is no tomorrow. And Delilah doesn't know what she wants. So what is it that these three really need? *** "I'll ruin your life." Mason rasps, reaching forward to tuck a curl behind my ear, a smug look on his face that I want to get rid of. "We'll ruin you, sweetheart." "Mason, shut the fuck up," Gunner says with gritted teeth. "You sure about that?" A harsh frown etches onto Mason's face at my question, and his hand drops from my face like I've just scorched him. "What do you mean?" I smile. "I'll ruin you." I look at Gunner standing tall behind him. "Both of you."

Barnabé a la flemme de résumer son histoire ce soir. Il préfère juste te prévenir, cher lecteur ou lectrice, que son roman pour ados est très douteux mais très marrant (et ça c'est encore à vérifier). Par conséquent, Thalès te recommande de commencer par lire le prologue foireux. (NDA: Ah oui aussi, pour me la péter, fallait que je précise que ce bouquin tout pourri a vraiment gagné les wattys une fois dans la vie!) © larmesmauves - 2017

AUGUSTIN se croit sans qualité, alors qu'il sait marcher sur les mains et sur la pointe des pieds. JEAN-SÉBASTIEN collectionne les mauvais surnoms comme les vieux vinyles et attire les catastrophes comme un aimant. MARCEAU porte un chapeau de mafieu qui lui tombe sur les yeux et placarde des tracts vengeurs les murs de la ville. Trois adolescents se trouvent dans les espoirs incertains, se perdent dans la beauté d'un regard, trébuchent sur les caresses et respirent à plein poumons l'odeur de la jeunesse.

on s'sourit parce qu'on pleure, et on pleure parce qu'on s'meurt (mais on ne veut pas mourir, aidez-nous, s'il vous plait) © mourire | mars 2018 ps; quelques emprunts d'mots et d'jolies phrases à fauve

« j'ai hurlé, dans les prés, à en donner des acouphènes aux lucioles et araignées »

elle était sa muse il était un artiste elle était son pantin il tirait les ficelles ils étaient amoureux et il l'a étouffée par @starlightinmysoul- ☪️ vingt-deux août deux mille vingt et un

Gare de Genève, 8 août. La chaleur est insupportable. Onze sexagénaires disparaissent sans laisser de trace. Le seul témoin présent ne se souvient de rien. Absolument de rien. Et puis il y a ces deux-là, celles qui n'ont jamais vraiment su comment vivre et qui se retrouvent chacune d'un coté du train. Terriblement proches et terriblement loin.

Milo n'a pas vraiment d'histoire à raconter sur lui. Sa vie est tranquille, il voit à peu près le bout du chemin et le confort de sa vie ne l'intimide pas. Cependant, quand il est question des histoires foireuses de ses amis, il est là et est le grand sage du groupe. Dans l'ombre, Milo donne les conseils. Enfin, plutôt, des sagesses. Et qu'on le croit ou non, c'est lui qui crée pour ses amis les situations improbables des romans pour ados. Crédits photo: Elias de Poot and Mikhail Pashchuk / Another Man Magazine Spring 2016 (x) Photographed by Benjamin Alexander Huseby, Styled by Mattias Karlsson © larmesmauves - 2018

❝ J'ai beau chercher ton regard à chaque coin de rue, je ne le trouve pas, Pourquoi tu ne me regardes pas ? ❞ Bribes poétiques de trois années ☆ → janvier 2019 / avril 2022

la mort nous attend pour qu'on pleure la vie avec elle. | novembre deux mille dix neuf |