Druon, éleveur de porcs en faillite, hérite d'une cathédrale que lui laisse un oncle méconnu. Le bâtiment est en ruines, et le travail qui l'attend est immense. Mais la cathédrale attire les convoitises, et fourmille d'ennemis visibles ou invisibles...

Les Caraïbes, 1683. Tandis que la France et l'Espagne s'affrontent pour les richesses des îles, les anciens dieux mayas somnolent sous les pierres d'une civilisation déchue, oubliés de tous, ou presque. Pourtant, l'un d'eux rumine encore sa colère devant l'arrogance des hommes. Dans l'ombre des cavernes, au cœur de ces îles où les esclaves arrachés à leurs terres d'Afrique subissent le joug des colons et tournent leurs prières vers les esprits vaudous, un roi sorcier étend sa magie pour les rassembler sous sa loi. Sur ces terres de conquête où poudre et fer décident de la victoire, trois destins convergent : la capitaine qui cingle vers Port-Royal pour y dépenser son butin ; la jeune scientifique fascinée par les mystères des Mayas, en quête de réponse dans les rues de Petit-Goâve ; et le chamane, esclave en fuite, dont le cœur se gonfle à l'idée de revoir sa famille. Aucun ne se doute que, sous l'œil du Dieu Serpent, ils vont embarquer pour la plus ambitieuse expédition de flibustiers jamais tentée. [Publié aux Editions L'Alchimiste]

Un recueil de contes sans queues ni tête. Avec des farfadets cordonniers des démons buveurs d'eau et des reines vendeuses de pomme. Sans oublier l'histoire du trou et celle de l'épée de cristal vivante ! Tous les contes fonctionnent sur un schéma classique avec de belles situation initiale et de jolies résolution finale... Le tout avec une certaine dose de n'importe quoi. Les contes de ce recueil font entre une dizaine et une trentaine de segments.Chaque segment étant volontairement très court. Cet ouvrage se veut être avant tout un exercice d'écriture rigolo avec pas mal de contraintes. Bonne lecture et donnez moi tout vos avis ! ..... Le farfadet cordonnier : TERMINÉ Le sceptre d'eau : TERMINÉ La reine marchande : 2019 ..... Image de couverture entièrement libre de droits : https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:John_Anster_Fitzgerald_-_Dreams.jpg Par John Anster Fitzgerald

*Fiction gagnante du Prix du Sabre Laser (1ière place) aux @X-Writor 2018 :)* « Dans la Baie de Santos, rien ne va plus. - Ne remettez plus les pieds dans cette firme, Monsieur Lescaux. Vous êtes personna non grata. M'avez-vous bien compris ? - Oui, ça ne peut être plus clair. Cette ville est intoxiquée. La vie d'Adan Lescaux prend la même tangente. Photographe reporter, il plonge dans le désespoir, l'alcool et les somnifères, jusqu'à ce qu'il rencontre Broot. Mais qui est ce gamin qui se pointe un soir à sa porte ? Adan le prend sous son aile et rapidement il découvre que le petit garçon possède des talents inédits pour son âge. Alors qu'il tente de l'aider à découvrir ses origines, l'homme se retrouve entraîné dans la plus mystérieuse aventure de sa carrière. Sans le savoir, en aidant Broot, il va mettre à jour une machination qui explique la pourriture qui gangrène Santos mais qui pourrait aussi se répandre ailleurs, comme la peste. - Adan, c'est ta ville ! - Oui Laurenn, et elle est pourrie... Et je ne peux rien faire pour changer cela si on ne me laisse pas démontrer ma vérité. - Adan le redresseur de torts, soupire la vieille dame. Je t'ai souvent dit que cela te mènerait loin de vouloir faire le bien. - Pour le moment, on me fait ravaler ma vérité... Et je ne vais pas loin. Un lien unique se crée entre ce gamin étrange et le photographe pigiste désœuvré. Leurs deux réalités se rencontrent et s'éblouissent. Sauront-ils survivre à leurs passés et résister à l'avenir ? - Tu m'amènes voir l'océan ? murmure le gamin. - C'est pour le voir que tu as grimpé sur cette chaise ? - Oui, j'ai entendu dire que dans la mer se trouve le passé de notre âme, chuchote Broot les yeux perdus au loin. J'ai jamais vu la mer.» Tous droits réservés. Reproduction interdite sans permission. Nominé aux Wattys 2017 :)

Chère Consoeur, Par la présente, je sollicite l'accord officiel de la Confrérie quant aux démarches que je souhaite mettre en oeuvre concernant Amalia Elfric. Née Hohenhoff le 13 septembre 1875 du calendrier Merlinique, elle présente une capacité innée liée à l'empathie. Je l'ai personnellement repérée le 4 décembre 1881 lors d'une visite à la Capitale fédérale. Le recrutement de 1885 a échoué (notes consignées au N°188100006387). Au vu des évènements à venir sur son lieu de résidence actuel (Aon - Congrégation Atlantique), j'envisage un nouveau recrutement, conformément à l'accord sur l'innovation Confrère de l'été 1894. Avec tout mon respect, Maître Kentigern, Officiel de Rang Trois ----------------- Cette histoire fait partie du cycle Confrérie. Il peut être lu séparément de La Fédération des Enchanteurs, mais se déroule dans le même univers :) ----------------- Cette histoire est sous licence CC-BY-SA-NC 4.0, quoiqu'en dise la licence Wattpad qui n'en finit pas de switcher en tous droits réservés sans qu'on le lui ait demandé...

"Venez, on se tire loin. Loin de tout. " Il est parti. David les a quittés. Il les a laissés derrière, tous les cinq, lui il a pris de l'avance. Il a toujours été en avance sur tout David, et en particulier toujours sur eux. D'abord il y a Louise, elle qui est rêveuse et fragile, et puis Clovis, toujours si juste et droit, peut-être trop, sans oublier Léon, une pile électrique qui carbure au bonheur. Danielle, elle, c'est la chef, une grande gueule et un grand corps sensuel. Et puis Achille, lui qui s'est enfui, lui qui est sarcastique et qui voit plus le noir que le blanc. Mais où est David ? Ils étaient six. Maintenant c'est cinq. Cinq comme les doigts d'une main. Chacun différent, chacun autonome, mais rattaché à une même paume. Rattaché à David. Mais David il est parti. Venez découvrir l'épopée de cinq amis, cinq jeunes qui décident de partir sur les traces d'un ami disparu. Comme on souhaiterait tous le faire, car on a tous quelqu'un qu'on aimerait pouvoir poursuivre et rattraper. Entre amitié, amour, haine, rancœur et secrets, peut-être vont-ils essayer de se retrouver.

En cette période sombre du Moyen-Âge, une bataille se joue. Carrefour des destins, elle réunit des êtres de tous horizons qui n'ont d'autre voie que la mort. D'expériences en histoires, les vies de ces personnes se succèdent et se mêlent pour peindre cette pourpre toile et tisser une intrigue. Le regard observant ces portraits successifs doit pouvoir y déceler une véritable fresque hors du temps. Mais ici, la partie est au-dessus du tout. En effet, quel intérêt revêt de connaître le chemin emprunté si l'on ne s'intéresse aussi aux intersections qui l'ont rencontré ? Tant que j'y suis, petit remerciement à Alexandrine pour m'avoir aidé à trouver une description qui tienne la route, pour être une lectrice assidue, et enfin pour me corriger les nombreuses fautes que je ne vois pas.

Marseille, 1993. Bayou croise Léopold, un sans-abri méprisant, imprégné de clichés ridicules sur tout ce qui vient d'ailleurs. Ils vivent des premiers abords venimeux, puis se perdent de vue pendant des mois. Nouvelle étudiante, elle quitte sa famille pour l'inconnu, trop consciente de qui elle est - et de ce que cela implique. Le campus est une autre épreuve : racisme ordinaire, violences physiques, solitude pesante, rêves qui flanchent à chaque humiliation. Pis, Léopold réapparaît et comme une ombre inquiétante, la suit en silence. Ils auraient dû se haïr. Mais quelque chose fissure la carapace. À mesure que les mots remplacent les jugements, une empathie, profonde et improbable, naît entre ces deux âmes écorchées qui comprennent qu'elles portent les mêmes blessures. Autour d'eux, la France tangue. Les discours se radicalisent. Des gens disparaissent. La haine s'intensifie, et les Fils de Dieu portent le flambeau d'un message terrifiant. Si cette secte ne s'était pas mêlée de leur histoire, ils n'auraient jamais eu à faire des choix aussi terribles. [GAGNANT DU CONCOURS X-WRITOR, MÉDAILLE DE BRONZE]

« Qu'est-ce qui avait bien pu lui prendre, à ce jeune homme de bonne composition, pour venir mourir sur la somptueuse peau d'ours polaire de la bibliothèque ? » Au pensionnat de Touchet, une étrange apparition vient troubler la quiétude des demoiselles : rien de moins qu'un cadavre, en plein milieu de la bibliothèque. Et nu ! Quelle indécence ! L'une des pensionnaires doit cependant jouer un jeu moins innocent qu'il n'y paraît, car la police est formelle : personne n'a pu pénétrer dans l'internat pour commettre le meurtre. D'où vient donc le cadavre ? Et qui a eu l'impudence de faire disparaître ses vêtements ? NaNoWriMo 2014 Le dessin des pensionnaires est une courtoisie du talentueux @DrPralinus.