L'histoire raconte une parti de la vie de Sani, une jeune fille française de 15 ans. Pour les grandes vacances avant sa rentrée au lycée son père l'amène en vacances en Inde afin que elle connaisse sa famille et ses origines. Mais ses vacances vont tourner au cauchemar .

Je vais vous raconter l'histoire de Sani, une adolescente Franco -indienne de 15 ans. Elle part un été en Inde pour connaître sa famille paternelle qu'elle n'avais jamais vu auparavant. Mais ces vacances vont se montrer plus longues que prévus. J'espère que vous apprécierez l'histoire

le moment venu j'étais devant chez moi en l'attendant et le voilà qui sort de chez Bouli. Il était de tour chez elle, l'un des domestique cours prendre sa valise et il il s'arrête devant Bouli certainement pour les au revoir. Il lui fait un bisous sur le front et elle court à l'intérieur en pleur. Et moi j'étais encore debout quelques larmes avaient déjà commencé à couler. Je m'empresse de les essuyé avec ma main en essayant tant bien que mal de paraître forte, mais je ne le suis guère. Il se tourne vers moi avance à pats lent lui aussi était triste mon mari je le voyait dans son regard. Dans sa tenue de militaire qui lui va si bien, il s'arrête devant moi enlève son béret et me regarde droit dans les yeux. C'est trop je peux pas les contenir, mes larmes ont finalement couler... Il s'est empressé de me prendre dans ses bras et les a essuyé avec un mouchoir qu'il a sorti de sa poche. Un mouchoir qui avait son odeur... Lui : Je le fait pour mon pays, pour toi, pour mon fils Moi: Comment sais tu que c'est un garçon. Lui : Je le sais c'est tout Moi:.... Lui: Khadijah je t'aime. Tu sais que mon coeur t'appartient et même quand je serai la bâ c'est à toi que je penserai. Moi: qu'Allah te protège. Qu'il te ramène sein et sauf parmis nous. Qu'il vous accorde la victoire. J'ai confiance en Dieu tout ce qu'il fait est bon et je me soumet à sa volonté. Lui : C'est comme ça que je veux que tu raisonne ma princesse. Viens la Il et sa main sur ma joue, s'est rapproché de moi et a posé ses lèvres sur les miennes. Doucement lentement c'est comme ça qu'il m'embrassait. Il a posé sa main dans mon dos et m'a rapproché d'avantage de lui. Lui : Je vais devoir y aller Il s'est abaissé et a fait un bisou à mon ventre. Il s'est remis droit, a tenu dans sa main son béret m'a fait un garde à vous avec l'autre main. Je le lui ai rendu et il m'a fait un sourire... Lui : Je t'aime princesse Moi: je t'aime mon Général Il s'est retourné pou

Papa: On rentre. On est rentré à la maison sans rien attendre. Durant tout le trajet il ne m'avait pas parlé, mais je sentais qu'il était contrarié. Une fois à la maison je ne savais comment lui parler. Alors j'ai fait simple. Moi: Je suis désolée. Papa : Il n'y a pas de je suis désolé. Dans une semaine ça sera la remise des diplômes juste après ça on rentrera au Niger et pas de bêtise. Il est aussitôt rentré dans sa chambre. Je me suis mise dans ma chambre. Je me suis mise à la fenêtre et je me demandais où il se tenait pour m'espioner Moi: Tu as embelli. Quand je t'ai vu mon coeur a fait boom boom.... Tu me manques Hambaly cette séparation me fait plus de mal que je ne veux le montrer. Laisse moi te parler, te voir ne serait ce qu'une fois je t'en pris Je retournais à mon lit et m'allongeait. Le lendemain même de la remise des diplôme on prenait l'avion mon père et moi. Il était plus que fatigué de ce pays. Dans l'aéroport je trainais des pieds espérant encore que le revoir. L'espoir fait vivre. Alors que j'avançais avec ma valise je me suis retourné et je l'ai vu se tenant au loin. Avec une capuche. Je vous l'ai dit je sais que c'est lui sans même avoir vu son visage. Je laissais tout tomber et courait vers lui. Il n'a pas bronché. Je lui ai sauté dessus et il me prit dans ses bras. Il m'a serré fort. Moi: Je savais que tu viendrai. Hambaly : Je t'aime ma Arfaah. Moi: Moi aussi je t'aime. Je t'aime plus que tu peux penser. Je lui touchais le visage et sa barbe qui avait poussé est ce qu'il y'a de plus doux. Je lui fis un bisous sur le coin des lèvres, avant de me replonger dans ses bras. Mais comme la vie n'est pas rose, papa m'a encore tiré. Moi: Laissez moi être avec lui. Alors que je me retournais. Il avait encore disparu. Sacré Hambaly. Deux êtres complètement différents réunis par la force de l'amour

Elle: Pour toutes les fois où tu es resté près de moi. Pour toutes les vérités que tu m'as fait voir. Pour toute la joie que tu m'as apportée Pour tout le faux que tu as rendu vrai Pour chaque rêve que tu as fait se réaliser Pour tout l'amour que j'ai trouvé en toi. Je t'en serai toujours reconnaissante. Bébé tu es celui qui m'as soutenu Céline Dion ----- Lui: Notre amitié m'est plus chère que ses beaux yeux.

Tout ce que je dis dans cette histoire n'est que la pure vérité .je vous jure que vous aller aimer *La Vérité* by Mame Diarra Sarr

Un amour qui naît au bureau entre deux collègues. Une fille battante qui doit choisir entre sa vie professionnelle et amoureuse. Un choix osé et risqué... Une histoire d'audace ...

Ma plume qui ne fait objet d'aucune restriction a l'outrecuidance de toucher n'importe quel sujet et d'écrire tout ce qu'elle entend griffonner dans la mesure que tout se lie aux faits sociaux. Cette plume ne connait pas de tabou ; le tabou est , du concept de ma plume , tout ce qui existe mais que l'on doit se taire de par son aspect abject ou incongru. Tant que le fait existe , ma plume s'aiguise et tout le reste demeure le cadet de son souci. Afin de mettre en garde les futurs lecteurs et lectrices compte tenu aussi de ma précedente histoire , je n'accepterai aucune bribe de proposition de changer le titre ou des critiques qui ont rapport avec mes décisions. Lesdites décisions sont bien pensées et muries avant de faire objet de publications. À juste titre d'avertissement , les âmes sensibles sont tenues de ne pas enregistrer cette histoire sur leur profil. Ma plume reste sanguinaire comme toujours pas besoin de vous prévenir qu'il ne s'agit pas d'une histoire rose , évasive oui mais il y'a une nuance entre rêve et cauchemar. Quand on voit le serpent nous poursuivre dans la forêt , on ne doit pas dire au reveil ' J'ai rêvé d'un serpent qui me poursuivait' , dis plûtot ' J'ai cauchemardé ' . Je n'écris pas pour faire rêver , je vous proposerai de taper sur la barre de recherche histoire romantique. Je reitère , ma plume demeure sanguinaire car la vie n'en demeure pas moins.