Louis est un jeune lycéen assez timide et introverti. Il vient de s'installer à Londres avec sa maman suite au divorce de ses parents. Tous les matins, Johanna le dépose à la boulangerie du coin. Il n'y entre jamais, de peur de stresser, rougir et ne pas pouvoir parler. Or, un jour, il aperçoit un charmant bouclé derrière le comptoir qui l'intrigue étrangement. C'est alors qu'il prend son courage à deux mains et s'apprête à aborder ce vendeur de rêve.

Âgé de seulement dix-sept ans, Louis Tomlinson vivait l'enfer. Il était forcé de venir passer un été entier chez sa grand-mère. Pourquoi? Il commençait à devenir un véritable monstre. Sa mère et son père n'arrivait plus à le supporter. Il mentait, il fumait, il buvait, sa grand-mère pourrait peut-être l'aider. L'isoler de son monde semblait une bonne idée. Mais... pour Louis, l'idée ne l'enchantait pas du tout.

Quand j'ouvre les yeux après un long sommeil, je me dis tout le temps qu'il y a pire que moi. Je me dis que j'ai un logement, un très petit logement. Je me dis que j'ai de la nourriture, peu, mais j'en ai. Je me dis que je gagne des sous tout les soirs, pas une grande somme, mais j'en gagne pour survivre tandis que d'autre n'ont rien. Alors, même si ma vie est pourrie, même si je vend mon corps d'homme, même si j'ai tout les soirs mal, je me dis qu'il y a pire que moi, et ça va un peu mieux. Mais j'ai toujours mal. Quand il ouvrait les yeux, où je travaillais, il me regardait et il n'avait plus mal. Il souffrait, il ne disait rien, mais il n'avait plus mal car il me regardait. Moi, Louis Tomlinson, je me sens observé, quand je travaille dans ce bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce groupe de motard qui gueule sur un match que diffuse la télévision du bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce vieux, qui regarde son verre, attendant que le temps passe. Ou bien si c'est ce jeune, ce jeune garçon avec des longues boucles, des longues jambes et des yeux verts qui m'observent silencieusement.

"Il est dur de lâcher prise. Je suis finalement en paix mais quelque chose ne va pas."

Ce soir là, dans cette chambre, Louis a réaliser un tas de choses, il a réaliser qu'il ne voudrait pour rien au monde perdre Harry, il a réaliser que ce dernier allait mal et il a surtout réaliser qu'il avait vraiment foirer sur ce coup.

" - C'est bon, tu l'as gagné ton putain de pari, tu l'as réussi. Maintenant casse toi, je veux plus te voir ! - Louis je... - CASSE TOI ! "

Courte histoire sur Louis & Harry à l'université. (Harry est en 3ème année et Louis en 1ère année) Long OS avec du Lemon J'espère que ça vous plaira :')

"tu es si petit." et comme pour prouver ce qu'il venait de dire, louis serra harry dans ses bras, et harry se colla contre son torse, plaçant sa tête aussi proche que possible de louis. "ma jolie poupée de papier." et louis le serra à nouveau, déposant un baiser tremblant mais chaud contre le front froid d'harry. harry sentit son coeur se serrer de cette manière encore, il se sentait aimé. un léger flottement, que même la personne la plus forte au monde ne pouvait contrôler. il aimait louis. il l'aimait. il l'aimait même s'il n'en avait pas envie, il n'en avait vraiment pas envie. ok, peut-être un peu. *** Voici la traduction française de 'i sleep naked' ('je dors nu') de uniquelyxlarry. Tout le mérite lui revient donc comme je ne fais que traduire. N'hésitez pas à laisser des commentaires, à aimer ou à me suivre. Cependant, la traduction française me revient entièrement, alors pas de plagia ;) La couverture a été réalisée par bangxlouis et tout le mérite lui revient donc.

"Qu'y a-t-il après la mort ?" Un soir, Harry décide de goûter à cette délicieuse fin. Il est déterminé. Il pense être prêt à avoir une réponse à sa question mais une rencontre troublante changera son avenir. Il ne saura peut-être pas ce qu'il y a après la mort, mais il apprendra que pour mourir, il suffit de tomber amoureux. 'J'aime penser que dans un autre univers, le destin nous a réuni. Toi et moi, sans tout ces problèmes. Juste toi et moi.'

Tous les jours je le voyais. Il me fixait. Chaque soir, je rentrais de mon travail. Je le voyais. Il restait là toute la journée, vêtu seulement d'un pull simple et d'un pantalon remonté sur les chevilles. Il faisait peine à voir. Les gens changaient de trottoir quand ils l'appercevaient. Apparemment, il n'avait pas bonne réputation. Je me demandait si j'oserait, un jour, aller le voir et lui parler. Peut être.✨ Fiction Larry, contenant des scènes de sexe explicites à caractères homosexuelles donc homophobes et intolérants s'abstenir.