Les péripéties de Laughing Jack, avant qu'il tue Isaac. Avant qu'il soit oublié. Je m'imagine leur aventures...

- « Eh vous auriez du feu ? » demanda une voix sur ma gauche. Je pointai alors mon doigt vers le panneaux des choses interdites lors du passage sous la manche : fumer était prohibé. Il souffla en haussant les épaules, et retourna dans sa voiture. 'Il ne manquerait plus que cet andouille-' - « ...ne mette le feu.... » ricana-t-il d'une voix traînante.

« TU PEUX FUIR MAIS TU NE POURRAS PAS TE CACHER Y/N !!! » hurla-t-il alors que nous nous enfoncions avec ma sœur dans les couloirs de l'opéra.

Comment pourrais-je seulement oser envisager que l'un d'eux me croit... ? Comment pourrais-je seulement espérer qu'aucun ne me prenne pour folle ? Non.. je ne pouvais tout simplement pas... c'était du passé... et pourtant, la vision de ces chaussures cirées... ce vague 'merci'... tout était encore gravé dans ma mémoire.. comme au premier jour... Mais c'était du passé ; j'avais une famille à présent, un enfant merveilleux... et un mari qui m'avait toujours soutenue... 'vraiment, que pourrais-je demander de mieux ?' me dis-je mentalement en fermant la porte de la chambre derrière moi.

Tout ce que je veux c'est un ami. Un ami avec qui parler, rire et oublier tous mes autres problèmes. Mon vœu s'exhaussa, mais pas comme je l'ai espéré. Notre rencontre ne fut pas des plus heureuse ni joyeuse. Ma vie a changé, mais pas du bon côté... (Non, il n'y aura pas d'autres creepypastas, pas de Jeff, pas de Slender, pas de manoir, pas de fille qui devient cannibale ou une meurtrière, etc. QUE DU LAUGHING JACK.) (attention aux âmes sensibles, pourrait contenir des scènes "sanglantes") Histoire mature.

Je criais, hurlais, me débattais, mais rien ne faisait ; et même si je parvenais malgré la douleur à me débarrasser de ses assaillants, sa place était bien vite remplie par un autre. C'était sans fin !