Alice aime lire, plus que tout au monde. Un après midi de Février, elle est seule, comme souvent. Elle n'a pas le droit de sortir, comme toujours. Comble du malheur, elle n'a plus de romans à disposition. Alors Alice s'ennuie. Ne sachant pas quoi faire d'autre, elle décide de rédiger une lettre dans laquelle elle donne son avis sur son roman favori, puis glisse cette dernière entre ses pages avant de le déposer dans la "Biblio-Cabine" qui se trouve à côté de la mairie. La jeune fille ne s'attendait pas à une réponse, à part à un petit remerciement de la part d'une des nombreuses mamies du petit village dans lequel elle réside. Elle s'attendait encore moins à une proposition de "correspondance littéraire". Alice n'est pas très sociable, mais elle aime lire. Et, plus que tout, elle voudrait quelqu'un avec qui partager ses lectures.

Timothée n'aime pas les légumes. Il leur trouve trop de couleurs. Timothée n'aime pas les saisons. Il n'en voit pas l'intérêt. Timothée n'aime pas l'école. Il n'y fait que s'ennuyer. Timothée n'aime pas grand chose. Si ce n'est dessiner des planètes. Pour partir à la découverte de ses envies, de son futur, de sa vie. « Timothée, il n'avait pas besoin de rêver d'être pompier ou vétérinaire pour avoir des étoiles dans les yeux. Les étoiles, il les avait dans la tête. » #1 dans Nouvelles (04.07.2017 / 18.07.2017) © JSUP. | collection « astéroïde » juin 2017

Ils disent que l'amour rend aveugle. Moi je pense que l'on ne peut pas aimer une personne, pas vraiment, si on ne la voit pas telle qu'elle est réellement. Mais est-ce seulement possible ? [Ecrit en 2016]

"Et si on s'en allait ? -Et où est-ce qu'on irait ? -Sur la lune..." Althéa écoute les voix sous sa fenêtre sans jamais les voir et en secret elle projette aussi de s'en aller vers la lune, mais elle finit vite par se rendre compte que seul l'un d'eux pourra faire ce voyage.

Jenna lui a fait une promesse. Et elle tient toujours ses promesses. Elle lui a promis qu'elle réaliserait son rêve parce que lui il ne peut plus réaliser le sien. Alors chaque année, elle monte sur leur arbre et elle lui raconte son chemin vers son rêve avant de lui promettre à nouveau : "Je ferai grandir ma graine. Je réaliserai mon rêve. Je te le promets." Je te le promets Meilleurs classements : #3 dans la catégorie poétique. #6 dans la catégorie nostalgie. #11 dans la catégorie ciel Cover réalisée par le projet Wecover.

Au milieu d'une foule, le silence m'entraîne et je lui crie mes peines. Seule dans ma chambre, les étoiles dansent en ronde et m'appellent. Et moi je crie à toutes ces âmes qui comme moi veillent, Envolez-moi ! J'écris car écrire est une évidence Et là où tous hurlent délivrance, Moi je cours et m'envole dans la nuit Avec les autres âmes qui s'enfuient. Recueil de poème en vers, où les rimes sont à consommer sans modération !

J'ai vu quelqu'un mourir met en scène un narrateur confronté subitement à la mort, sur son trajet quotidien. Alors qu'il se rend vers son lieu de travail, il découvre ce qui ressemble fortement à une scène de crime, protégée par des policiers. Il n'y a cependant aucun cadavre, et aucun média ne couvre l'évènement. Le narrateur se lance alors dans une introspection, et s'interroge à la fois sur la mort, le deuil et l'oubli. La couverture de cette nouvelle est tirée d'une photographie de Philo Nordlund, publiée sous la licence sous la licence CC BY 2.0.

Hayden Sherwood a une vie parfaite. Ou du moins, semble en avoir une. Quand les apparences sont trompeuses, la vérité n'est jamais belle à voir. Sa rencontre avec Rafael Kingston changera sa vie à jamais. Plongez dans le monde noir d'Hayden, là où les mensonges sont révélés un à un. Rafael réussira-t-il à la sauver de ses démons ou la détruira-t-il complètement ?

Arès est un adolescent qui, un jour, se tait. Son mutisme désempare ses proches qui finissent par le délaisser, laissant le jeune homme face à son propre silence. Et comme Arès a abandonné les mots, la peinture devient sa façon de s'exprimer, bien que personne ne sache décrypter ce qu'il dessine. Personne, sauf Ève, la pianiste.

T e r m i n é. « Il s'asseyait là, chaque jour, depuis une éternité. Chaque jour, le même jour, les mêmes heures qui défilent, les mêmes sons, les mêmes images. Assis là, il regardait passer les trains. Personne ne descendait jamais sur le quai. Personne ne l'attendait. Personne ne venait rompre la solitude. Puis un jour, il était descendu du dernier wagon. » • JeNoJam & Nana ♡ 180412 to 180528. Highest Rank : #64 dans la Catégorie Fanfiction [ on the 180528 ]