Fusae, lycéenne introvertie, est passionnée par le dessin. Chaque soir, elle dessine à son insu des portraits d'Oikawa Tooru, un inconnu au charme irrésistible qui habite dans l'immeuble en face du sien. Rien ne les destine à se croiser, jusqu'au soir où Fusae tombe littéralement à ses pieds en promenant son chien... et vomit sur ses chaussures. Morte de honte, elle jure de rester à distance de son voisin pour l'éternité. Mais quand Oikawa met la main sur son carnet à dessins rempli de portraits de lui, elle doit revenir sur sa décision. Car il a une offre à lui faire, une offre qui ne se refuse pas. |cover drawing: @ell.qamar sur Instagram~|

Un ballon. Une seconde d'inattention. Et une marque à même la peau, comme gravée à l'encre indélébile. Fumiya Akemi ne s'attendait pas à ce que poser un pied sur le sol du gymnase secoue de la sorte son quotidien. Ni même à ce que dans la violence de ce choc, elle trouve la solution à ses problèmes. Or entre sa meilleure amie entichée du capitaine de l'équipe de volley-ball et sa détermination à l'aider à tout prix dans cette relation, il n'en faut pas plus pour que les liens s'effleurent, se mêlent et se nouent. Un mal pour un bien. « T'étais moins bavarde la première fois. - J'étais surtout sonnée. La faute à qui ? » Suna x OC

AKAASHI KEIJI X MAEKO MINARI Depuis quelque temps, une rumeur court dans les couloirs de Fukurōdani : un fantôme circulerait la nuit dans l'établissement. On parle d'un fantôme aux traits féminins, vêtu d'un uniforme similaire à celui des lycéens mais tâché de rouge, tâché de sang. Cette terrifiante légende serait née l'année précédente, du témoignage horrifié d'une ancienne première année. L'étudiante raconte s'être retrouvée nez à nez avec la créature mystique, un soir de novembre vers vingt-trois heures alors qu'elle venait chercher un cahier qu'elle avait oublié. Plusieurs autres témoignages successifs confirmeraient la présence de cette entité surnaturelle. Fait encore plus terrifiant, on raconte que ce fantôme se cacherait la journée dans le gymnase du club de volleyball. les personnages et l'univers d'Haikyû!! appartiennent à Haruichi Furudate (j'vais pas vous refaire la chanson, sur le plagiat, vous êtes assez grands pour la connaître) ↦ fanart de @/moiemoii sur twitter 26 février 2021-

L'innocence de l'enfance est une fleur éphémère, qu'il faut chérir tendrement. Haruhi a vu la sienne faner bien trop vite. Depuis toute petite, on lui a fait comprendre qu'elle ne serait jamais comme ses camarades. Ses origines étrangères attirent toujours les regards, souvent curieux, parfois empreints d'un mépris injuste qu'elle ne comprend pas. Et ses fréquentes absences, dont personne ne connaît l'exacte raison, renforcent le mystère autour de sa personne. Elle semblait condamnée à n'être que "l'étrangère de deuxième année" du lycée Inarizaki, toujours tenue à l'écart des autres. Loin de ce quotidien normal d'une adolescente de son âge, elle cache la chute de ses pétales derrière des couleurs éclatantes. 𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑎 𝑑𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑠𝑚𝑜𝑠 𝑛𝑒 𝑓𝑙𝑒𝑢𝑟𝑖𝑟𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑙𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑖𝑛𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 ? Magnifique cover par @-quasar

Mahiru ne s'est jamais intéressée à Miya Atsumu. Elle ne le déteste pas, elle ne l'admire pas non plus, rien d'extrême. Il ne lui inspire que les sentiments qu'on a habituellement à l'égard d'un camarade de lycée un peu mignon et populaire : un ou deux coups d'œil curieux lorsqu'il passe dans les couloirs, des interviews flash en début de match pour le journal du lycée, ou bien un rire parfois forcé quand il est d'humeur à faire des blagues douteuses dans le réfectoire. Rien de plus, rien de moins. Et pourtant, il n'a suffi que d'une insulte et d'une briquette de jus de fruit pour que tout cet équilibre vole en éclat. - T'es vraiment relou, comme gars. - Ha, c'est un truc que me dit souvent 'Samu, tiens. - Peut-être parce qu'il y a une part de vérité dedans ? - C'est ça continue, et ton interview, tu devras la finir toute seule ce week-end. |cover drawing: @nor.ophelia sur Instagram|