Une Afrique , un continent , une histoire , une richesse , des valeurs culturelles . Les africains , la peau noire , l'histoire . Meilleurs classements : -16 ème place : Catégorie Poème -8éme place : Catégorie Culture :20/07/18 [TERMINÉ ]

L'histoire d'un homme fort senegalais

l'ancien president sud'africain Nelson mandela né le 18 juillet 1918 et mort le 05 Novembre 2013... Son esprit revolutionnaire a marqué ses écrits et ses discours de paroles simple mais qui garderont sans doute leur resonance á jamais

Lui:Membre des Demons, aussi con que beau. Elle:Membre des Black Widow,aussi belle que dangereuse. Que faire?S'aimer? Se détruire? Lorsque l'on est ennemis,existe t-il un moyen pour s'aimer? Découvrez le dans Beyond The Gang

~Maya : Être nouvelle dans un quartier quand on n'y a jamais vécu c'est bizarre, on a l'impression de passer dans un monde parallèle, surtout quand on a toujours eu l'habitude de vivre dans de jolis appartements; c'est à dire que la vie ne prévient jamais, on peux passer du tout au rien. Et puis je l'ai rencontré, et il a suffit d'un regard, pour que je comprenne que je n'arriverai jamais à m'en défaire, il hantait mes pensées, tout ce que je faisais je voulais qu'il le sache. Je suis devenue dépendante de lui. ~Nabil : On a vécu dans les ténèbres, depuis petits on est habitués à souffrir, quoi qu'il arrive on est près à tout. Dans notre quartier on est uni, personne se trahi, si tu trahis on te fais plus jamais confiance. Elle est arrivée chez nous et elle a tout chamboulé, même mon âme sans cœur, elle hantait mes pensées, que je le veuille ou non elle était rentrée dans ma tête et je pouvais plus me défaire d'elle. C'était ma drogue. Une histoire simple avec un amour compliqué; aujourd'hui ils vont vous raconter leur histoire. 06/04/2019.

Nous les "Bloods" eux les "Demons". Lui bad boy, moi bad girl. Nous deux ? Nous étions les pires ennemis du monde ! Les enfants de deux chefs de gangs ennemis, si on lui avait demandé ce qu'il pensait de moi, il aurait sûrement dit "Cette meuf a un sacré culot de me défier." Si on m'avait demandé ce que je pensais de lui, j'aurais évidemment répondu "Ce connard ne mérite même pas de vivre." Mais pourtant, tout va se déjouer.

Une si longue lettre est une œuvre majeure, pour ce qu'elle dit de la condition des femmes. Au cœur de ce roman, la lettre que l'une d'elle, Ramatoulaye, adresse à sa meilleure amie, pendant la réclusion traditionnelle qui suit son veuvage. Elle y évoque leurs souvenirs heureux d'étudiantes impatientes de changer le monde, et cet espoir suscité par les Indépendances. Mais elle rappelle aussi les mariages forcés, l'absence de droits des femmes. Et tandis que sa belle-famille vient prestement reprendre les affaires du défunt, Ramatoulaye évoque alors avec douleur le jour où son mari prit une seconde épouse, plus jeune, ruinant vingt-cinq années de vie commune et d'amour. La Sénégalaise Mariama Bâ est la première romancière africaine à décrire avec une telle lumière la place faite aux femmes dans sa société. BONNE LECTURE .

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