⤷ Un soir, Jimin écrit une lettre à son auteur favori. Un certain Min Yoongi, obsédé par les couleurs, qui ont rythmé sa vie et ses écrits. (J.m & y.g)

⤷ Jeon Jungkook est un petit garçon ordinaire de 13 ans. Dans son journal, il parle de son quotidien. Il décrit ses journées : ce qu'il fait, ce qu'il voit et ce qu'il entend. Mais un jour, de nouveau voisins emménagent en face de sa maison. Et les arrivants ont un fils, Jimin, qui se créera alors une place dans la vie de Jungkook mais aussi dans celle de son journal, dont les pages connaîtrons bien son nom. (j.k & j.m) EN PAUSE

il y avait au fond du bus ce garçon qui ne parlait jamais pairing: yoonmin

Il y avait moi et ma vie ennuyante et il y avait lui, le voisin d'en face. Il y avait nous dans nos deux appartements faits à l'identique comme le reflet d'un miroir. Il ne me connaissait pas, moi je savais tout de son quotidien. J'avais besoin de voir comment il vivait pour comprendre l'existence que je n'aurais jamais. Mais nos deux mondes allaient se confronter dans le chaos le plus total et sa vie et la mienne, se mélanger pour prendre un tournant inattendue. Fanfiction BTS : Taekook / YoonMin Romance, récit contemporain, récit initiatique, amitiés, tranche de vie. Fanfiction commencée en février 2018 ; terminée en février 2020.

ROMANCE/FANTASTIQUE/LIME/DEPRESSION/LANGAGE FAMILIER/DRAMATIQUE "L'oiseau cherche à se dégager de l'œuf. L'œuf est le monde. Celui qui veut naître doit détruire un monde." Demian, Hermann Hesse. Jimin est un garçon enfermé dans son monde depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne. On lui dit qu'il est dépressif. Débordant d'imagination, rêvant de vivre des choses extraordinaires, il ne trouve pas sa place dans un monde qu'il considère comme ennuyeux, et auquel il se ferme complètement. Cependant, depuis son entrée à la fac, des évènements étranges se produisent, entre rêve et réalité. Et il est sûr que le garçon aux cheveux noirs qu'il croise dans cet amphi de Lettres chaque semaine n'est pas étranger à ces évènements... "Mourir, dormir, rien de plus... Et dire que, par ce sommeil, nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le lot de la chair : c'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Mourir, dormir ; dormir, peut-être rêver ? Oui, voilà l'obstacle. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés du tumulte de cette vie ?" Hamlet, Shakespeare, Acte III, scène 1.