Elle ne se sent plus partie intégrante de ce monde. Elle avance sans en avoir vraiment conscience. Tenir, oublier survivre... C'est la clarté et l'obscurité qui se battent en elle... Sur les marches de l'Université, voilà des jours qu'il l'épie à son arrivée le matin. Chaque fois, elle passe sans le voir, sans même lever les yeux vers lui. Il ne peux cesser de penser à elle, à cette jeune fille qui semble tellement absente de la vie autour d'elle. Elle l'intrigue... Découvrez le chemin du destin qui provoque la rencontre de ces deux âmes esseulées en un éclat inoubliable, poétique et inspirant : un Clair-Obscur. 🏵 🏵 🏵 (5 octobre 2018) Cette histoire est gagnante aux Wattys2018 dans la catégorie Heartbreakers (Les Bourreaux des Cœurs) ❤️🧡💙 :) Bonne Lecture Gaïa ;) © Brigitte Mousseau 2016 alias GaiaNovae Tout droits réservés et œuvre déposée Première publication 06/09/2016

Du plus loin qu'elle s'en souvienne, Florence a toujours passé ses vacances en compagnie d'Antoine et de sa famille. Rencontrées une année pendant leurs vacances, les deux familles se sont toujours bien entendues, et Antoine et Florence ont depuis toujours séjourné quelques semaines ensemble durant les vacances d'été suite à cette rencontre. Jusqu'à l'été des seize ans de Florence, où la mère d'Antoine est morte tragiquement lors d'un accident de voiture. Cela va faire trois ans. Trois ans que Florence n'a pas eu de nouvelles d'Antoine. Trois ans qu'elle ne l'a pas vu. Et cette année, au bout de trois ans d'absence, leurs familles vont se revoir. Seulement, Florence a oublié une chose : les gens changent. Et Antoine n'est pas une exception. © 02/07/17 - 16/07/17

Nouvelle écrite dans le contexte de l'événement "Cahier de vacances : Une nouvelle pour l'été (2014)" du site de la Passion des Poèmes. Poursuivre l'histoire avec le début imposé suivant : "Coincé entre un Stendhal et un Emile Zola sur l'étagère du milieu, ce livre aurait pu avoir la vie belle. Profitant de la circonstance et de la réputation de son voisinage, il avait espéré se couler dans une existence paisible loin de la poussière mais aussi de l'usant feuilletage de ses lecteurs potentiels. Cependant, il se trompait. " Ceci est la première version (version courte) en attendant la seconde édition d'ici la fin de l'année en principe.

Une maison abandonnée dans les bois. Et puis toi.

Paris - Un homme est seul et perdu. Une inconnue l'aborde, rien qu'un instant... Et le monde bascule, les repères se bousculent. Pour un bien ou un mal, c'est à travers les yeux du narrateur qu'on perçoit cette contradiction assumée. Teinté d'une tristesse dont on ne sait à qui elle appartient, ce roman est construit sous la forme d'un témoignage qui a vu naître et sombrer un amour qui n'aurait pas dû être aux yeux des autres, mais qu'en est-il aux leurs ? Puis, ils se l'étaient promis... qu'ils n'iraient nulle part. Ce sont des scènes de vie, racontées avec simplicité, mais avec une interrogation craintive propre aux retours en arrière.

Une jeune fille de dix-neuf ans est retrouvée sur la scène d'un drame dont personne n'a idée. Impossible de conclure s'il s'agit d'un crime, d'un règlement de compte ou d'une histoire tout simplement tragique. L'inspecteur en charge va collecter les informations pour comprendre. C'est là que va commencer le déroulement du film. D'une banale rencontre sur le chemin du lycée à l'enchaînement inéluctable des pièces du puzzle qui conduiront à la scène finale.

Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs. Qui aurait pensé que les deux familles auraient trouvé en cette soirée de nombreux points communs ? Soudain, Gabin et Agathe se croisent bien plus souvent qu'à des mariages. Du repas du dimanche à Noël, les voilà obligés de se fréquenter à chaque fois que leurs parents veulent « se faire une bonne bouffe ». En l'espace d'un an jour pour jour, Agathe et Gabin auront la chance de partager vingt-quatre fêtes, du repas d'anniversaire aux dates les plus oubliées du calendrier. Et en vingt-quatre fêtes, ils s'aimeront, se détesteront, et tenteront d'assembler pièce par pièce ce qui ressemble peut-être à une jolie histoire. Gabin et Agathe se sont rencontrés à dix-sept ans au mariage de leurs frères et sœurs respectifs et depuis, ne se sont plus jamais quittés.

[ Terminés : 6 courtes histoires ] Recueil de one-shot : Courtes histoire abordant un thème ou tout simplement une petite histoire. N1: Ella Wayne vient tous les jours après les cours au June Coffee. Depuis le coin de la boutique, elle s'assoit pour boire son "Cappuccino Ours" et admirer le jeune et beau serveur du nom de Nathan. Pourtant celui ci n'est pas un cœur libre à prendre.. Mais le cœur pousse parfois la raison à faire des choses idiotes, alors quand Ella voit qu'un poste de cuisinière est à pourvoir au café, elle s'empresse de postuler... N2: Une fille qui se comporte comme un garçon, s'habille comme un garçon, joue comme un garçon et ressemble à un garçon peut elle espérer être aimé du capitaine de l'équipe de Basket masculine ? Peut elle espérer, quand on sait que celui-ci n'a d'yeux que pour les belles filles féminines ? N3: Une lettre, et des mots qui redonnent le courage, l'espoir et la foi en l'amour. Emma, après cinq années, n'a jamais pu oublier l'auteur de cette lettre qui fait encore aujourd'hui battre son coeur. Elle s'est donc inscrite sur un site d'anciens camarades de classe, dans le but de le retrouver.. N4: Une pure petite starlette fait un voyage en Afrique du Sud. Que va t-elle y trouver ? Les strass, les paillettes, ou tout simplement l'amour et l'a dureté de la vie ? N5: Il relate d'un amour, s'achevant malheureusement par un procès dans lequelle Madame Saya attaque son mari en justice pour violences conjugales. N6: Lettre où John fait ses adieux à sa famille, depuis la guerre qu'il vient tout juste de remporter.

TW Une histoire de violence conjugale Couverture par @jesuisunparadoxe

Arès est un adolescent qui, un jour, se tait. Son mutisme désempare ses proches qui finissent par le délaisser, laissant le jeune homme face à son propre silence. Et comme Arès a abandonné les mots, la peinture devient sa façon de s'exprimer, bien que personne ne sache décrypter ce qu'il dessine. Personne, sauf Ève, la pianiste.