Le Nouvel État est dirigé en 1889 par la Confrérie des Ordres, qui veille à garantir la protection et le bien-être de ses sujets. Vivant dans l'Etoile, ce grand bâtiment réservé aux membres de l'Ordre, Tim connaît sur le bout des doigts le fonctionnement de son pays. Fils des Dirigeant de la Confrérie, il est lui aussi destiné à gouverner le Nouvel État, et suit depuis sa naissance des cours spécialement conçus pour lui. Son avenir est tout tracé, il dirigera la Confrérie et épousera Abigaël, l'amie avec qui il a grandi. Seulement, le Nouvel État est menacé par les Enfants de l'Aube, ces êtres surnaturels qui n'apparaissent qu'une seule fois tous les vingt ans. Capables de mettre en péril la paix que la Confrérie s'efforce de maintenir, ils doivent être maîtrisés avant que leurs dons ne se développent de manière irréversible. Jusque-là, la Confrérie est toujours parvenue à maîtriser les Enfants de l'Aube. La donne change quand il se révèle que Tim en fait partie.

Pourquoi ? Pourquoi a-t-il fallu qu'elle me voit à ce moment là ? Ce moment où j'étais le plus vulnérable, ce moment où j'ai laisser transparaître mes sentiments ? Pourquoi ? La pluie se met à tomber, tout comme mes larmes. Elle est debout à quelques pas de moi, elle me regarde impassible et je la fixe en retour à travers mes larmes alors que je suis toujours à genoux devant la tombe de mon père et de mon sen-sei...Elle s'approche et elle hésite...C'est bon, je sens venir sa moquerie, que le plus grand flemmard du village est aussi un pleurnichard, qu'elle va le raconter à tout Konoha... Mais que fait-elle ? Je ferme les yeux, attendant sa remarque qui me blessera malgré moi, mais je n'entend rien à part le bruit de l'eau tombant sur le sol. Je sens l'herbe bouger puis soudain deux mains douces m'entoure les épaules et m'attirent contre son propriétaire. J'ouvre les yeux et je rencontre un tissu d'un kimono, ma tête est appuyé contre un ventre plat. Je me décale légèrement et lève la tête. Je croise de magnifiques yeux verts émeraudes emplis de larmes, elle me sourit. Un vrai sourire. - Je suis désolée Shikamaru. Me chuchote-t-elle doucement. Je ne répond pas, j'appuie ma tête contre son ventre et passe mes bras autour de sa taille. Elle resserre sa prise autour de mes épaules et me caresse doucement les cheveux. La pluie continue de nous tomber dessus. Je ne sais pas combien de temps nous restons dans cette position mais tout ce que je sais n'est que je me sens apaisé et heureux... #6 Shikatema le 11/04/2020 #3 Shikatema le 10/05/2020 #2 Shikatema le 02/05/2020 Tout plagiat sera punit : Article L335-2 du Code de la Propriété Intellectuelle. Cover by la talentueuse @-borealis Ces covers sont magnifiques ! Dream_Olympus 💫