Le 19 juin. L'anniversaire de Dazai Osamu. Les anniversaires apportent généralement de bonnes choses, n'est-ce pas ? Même pour le plus jeune capitaine de l'histoire de la mafia, la moitié du Double Noir, la machine à bousiller les bandages, non ? (Dans lequel Chūya est confus et l'exprime en frappant des trucs (et en se saoulant), Dazai est un abruti qui fait semblant de ne se soucier de rien (tout en se souciant de tout), et tout le monde y gagne une migraine (mais aussi l'occasion de s'en défouler). Et dans lequel il s'avère, également, que certaines personnes sont plus aptes à donner des conseils que d'autres.) (Ah, et aussi, dans lequel Chūya peut rêver parce que j'ai dit que c'était le cas.) * * * * * Ou, comment l'idée fantastiquement absurde de Chūya donnant des concerts pour la PM s'est transformée en une histoire beaucoup plus sérieuse. Crack traité sérieusement à propos de ces deux idiots qui forment le Soukoku, de chansons d'anniversaire et de beaucoup d'alcool. (Crédit de l'artwork de la couverture : moon-fish-ghost sur tumblr) (Co-pensé et élaboré avec @PlumeDePandinou)

Eiji regarda la photographie encadrée, la nostalgie se frayant un chemin dans son esprit et sa vision se troublant malgré ses lunettes, comme à chaque fois qu'il la voyait. Inspirant profondément, il tenta de le refouler. Tout ça datait d'il y a si longtemps, il avait tourné la page maintenant. Sept ans. C'était si long, sept ans. Mais il lui manquait encore tellement.