Y/N is confronted to her past memories. She dated The White Wolf and The Mischievous God, but now she has a choice to make. Will she be able to make that choice? Or will she choose Paris instead?😏 #lokigeraltfanfiction ⚠️DISCLAIMER⚠️ (This story is one of my psychotic ideas but some chapters were written by my dear and fantastic friend 💚 _yaska_ 💚 I really hope you enjoy this as much as I do.

1557, le roi Henri II met de coté son épouse, la reine Catherine de Médicis en invitant sa favorite, Diane de Poitiers, à la cour et allant jusqu'à porter ouvertement les couleurs de cette dernière, forçant Catherine à vivre avec cette trahison. C'est durant cette même année que la jeune comtesse, Aliénor de Saint-Maixent, qui se fera nommer Edouard afin de se travestir dans le but de rentrer dans l'ordre des gardes royaux de sa majesté le roi. Elle s'occupera de la sécurité de l'ensemble de la famille royale mais ce sera surtout la reine, la grande Catherine de Médicis qui attirera son attention, de 12 ans son ainée. De subordonné à confidente, de responsable de la sécurité à responsable de son bonheur, Aliénor va finir par prouver à la reine que l'amour existe, même s'il est interdit par l'église. Ces deux femmes du 16ème siècle vont finir par céder à l'amour, et vont entretenir une relation interdite par l'époque en étant tout à fait consciente des risques encourus. Jusqu'où cette idylle aux finalités pouvant être mortelles va-t-elle aller ? Jusqu'où seront-elle prêtes à aller pour entretenir cette relation ? Et surtout est ce que tout cela vaudra vraiment le coût ?

OEUVRE DE CHARLOTTE BRONTË «Il était impossible de se promener ce jour-là. Le matin, nous avions erré pendant une heure dans le bosquet dépouillé de feuillages ; mais, depuis le dîner (quand il n'y avait personne, Mme Reed dînait de bonne heure), le vent glacé d'hiver avait amené avec lui des nuages si sombres et une pluie si pénétrante, qu'on ne pouvait songer à aucune excursion. J'en étais contente. Je n'ai jamais aimé les longues promenades, surtout par le froid, et c'était une chose douloureuse pour moi que de revenir à la nuit, les pieds et les mains gelés, le cœur attristé par les réprimandes de Bessie, la bonne d'enfants, et l'esprit humilié par la conscience de mon infériorité physique vis-à-vis d'Eliza, de John et de Georgiana Reed. Eliza, John et Georgiana étaient groupés dans le salon auprès de leur mère ; celle-ci, étendue sur un sofa au coin du feu, et entourée de ses préférés, qui pour le moment ne se disputaient ni ne pleuraient, semblait parfaitement heureuse. Elle m'avait défendu de me joindre à leur groupe, en me disant qu'elle regrettait la nécessité où elle se trouvait de me tenir ainsi éloignée, mais que, jusqu'au moment où Bessie témoignerait de mes efforts pour me donner un caractère plus sociable et plus enfantin, des manières plus attrayantes, quelque chose de plus radieux, de plus ouvert et de plus naturel, elle ne pourrait pas m'accorder les mêmes privilèges qu'aux petits enfants joyeux et satisfaits.»